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Punk Outsiders 1975 - 1985

Les meilleurs albums de l'underground punk international

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Par François Ibanez
28 septembre 2019
Prix : 30 €

Extrait :

L'univers du punk-rock a été décrypté dans de nombreux ouvrages qui évoquent les grandes stars que sont les Ramones, les Sex Pistols, le Clash, les Damned ou les Heartbreakers. Le genre a été documenté et évoqué par des journalistes, des journaux spécialisés, ou exploité à des fins romanesques au travers de marqueurs spécifiques qui font tout le sel du punk-rock : liberté, provocation, anarchie, rébellion, do it yourself, marginalité, drogues, violence, looks délirants et musique survitaminée. Pourtant ce genre, généralement assimilé à l'année 1977, et rapidement rattrapé par l'industrie du disque qui a vite récupéré les idoles les plus en vogue, cache une pléiade de formations restées dans l'ombre qui possédaient, à la même époque, un talent indéniable. Ces petits groupes, souvent locaux, ou au mieux nationaux, méritent d'être redécouverts aujourd'hui. Qui se souvient de Pekinška Patka, le meilleur combo de Novi Sad, ou des Rats, qui précèdent Dead Moon, formation underground mythique de Portland ? Punk Outsiders retrace par l'exploration de 99 albums underground idéaux à travers le monde, un passé punk qui s'étire de 1975 à 1985, de précurseurs comme Mike Rep ou Rob Jo Star Band au milieu des années 1970, jusqu'aux formations du début des années 1980 comme les Fungus Brains ou les Easter Monkeys. Ces disques démontrent que le punk-rock recèle une foule d'artistes incroyables oubliés des médias, ayant su contourner les contraintes du système pour proposer leur propre vision de la musique, dépassant même parfois en qualité, les classiques du style. Les Desperate Bicycles, les Snivelling Shits, Hubble Bubble, Kriminella Gitarrer, Big Balls & The Great White Idiot, Tutu And The Pirates, Pelle Miljoona & N.U.S., les Dinosaurs, les Homosexuals et bien d'autres encore en sont quelques exemples.

Paulette Pub Rock

343 Rue Régina Kricq

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Par Syned Tonetta
22 août 2019
Prix : 36 €

Extrait :

Peu d'ouvrages ont été consacrés à des salles de spectacles. Le Paulette Pub Rock est une exception dans le paysage musical en France. Syned Tonetta s'est employé à explorer ce lieu qui n'aurait pas perduré sans un couple à la destinée singulière. Paulette, aujourd'hui presque centenaire, et Yves, son mari, ont fait d'un café-épicerie-dancing un temple du rock... à la campagne, dans un village, Pagney-derrière-Barine. Est-ce dû tout simplement à cet amarrage loin des circuits habituels, ou alors à ce public hétérogène dont CharElie a remarqué les « mains calleuses » lors d'une séance de dédicace « plus longue qu'ailleurs » ? L'auteur remonte un siècle en arrière pour comprendre ce lieu à la trajectoire pérenne, ouvert autant sur le passé que sur le présent du rock, qui voit passer des milliers d'artistes et non des moindres : de Vince Taylor à Ange, de Dr Feelgood aux Dogs, du Gun Club à Canned Heat, de Calvin Russell à Blaze Bayley, de Louis Bertignac à No One Is Innocent et tant d'autres. Il doit y avoir une raison ou des raisons pour qu'un nom, une adresse fassent rêver tous les musiciens, des débutants aux plus illustres, tous les fans de blues, rhythm'n'blues, rock'n'roll, punk, metal, stoner et même de prog music. L'auteur, qui a connu un temps ce repaire de rockers de l'intérieur, retrace l'histoire à travers une famille, celle des Bortolotti-Marchal, à l'aide de nombreux témoignages de proches, de clients, d'artistes et de professionnels du show-biz. Un essai sur un carrefour de rencontres et de styles, un phénomène sociétal unique dans les annales du rock.

Blondie

Biographie et discographie détaillée

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Par Adrian Michenet-Delys
22 août 2019
Prix : 32 €

Extrait :

Groupe phare des années 70 et 80, Blondie est l'auteur de tubes intemporels (« Call Me », « Heart Of Glass », « The Tide Is High » ou encore « One Way Or Another ») que l'on retrouve dans toutes les compilations pop-rock. Issu du mouvement punk américain puis classé new wave, Blondie a su très tôt se jouer des étiquettes en adoptant un son power pop reconnaissable entre mille et en expérimentant avec la curiosité et l'enthousiasme pour ligne directrice. Mais si Blondie est bel et bien un groupe de rock, sa figure de proue féminine, Deborah Harry, immortalisée sur des photographies glamour, qui n´a pas laissé indifférentes Madonna ou Shirley Manson, a semé la confusion. Blondie, était-ce Deborah Harry ou un véritable groupe ? Ce livre offrira une réponse à cette question légitime. Cette promenade dans le monde réel vous permettra de suivre le parcours de chacun de ses membres, sans négliger leurs efforts en solo, discographiques et même cinématographiques. Arpentons ensemble les pavés de l'enfer du CBGB, l'ascension foudroyante du groupe jusqu'à son départ précipité par la petite porte puis son retour triomphal au crépuscule des années 90 et sa longévité qui se vérifie encore de nos jours, le groupe ne cessant d'enregistrer de nouveaux albums et de tourner aux quatre coins de la planète. Donnons la parole à un guitariste adepte de soli stratosphériques, un batteur jamais avare de coups, une chanteuse tendrement psychopathe, un claviériste rutilant, un manager méphistophélique et bien d'autres... Croisons des figures familières comme Andy Warhol, David Bowie, Iggy Pop, James Woods ou encore Paul McCartney. Il est temps de dénouer les noeuds de l'affaire Blondie ! Né à Châteauroux en 1986, Adrian Michenet-Delys est l'auteur d'un livre sur Jethro Tull, Madness In The Spring publié chez Camion Blanc en 2018. Il est chroniqueur pour le webzine Music Waves, spécialisé dans le rock progressif, la pop, le rock et le metal industriel.

Life From A Window

Paul Weller et l'Angleterre Pop

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Par Nicolas Sauvage
13 juin 2019
Prix : 32 €

Extrait :

Propulsé dans le grand cirque punk suite à une erreur d'aiguillage avec The Jam, Paul Weller a écrit cet hymne à la jeunesse que demeure « In The City » avant même de fêter son vingtième printemps. Loin d'afficher des accointances avec le nihilisme en vigueur du punk britannique, The Jam servira à Weller de véhicule pour faire revivre la culture modernist et, plus largement, pour imposer son groupe comme le plus populaire dans l'Angleterre de Margaret Thatcher. La suite le conduira à se débarrasser de l'encombrant costume de porte-parole générationnel pour entrer, avec le Style Council, en immersion totale dans cette musique afro-américaine sur laquelle s'est largement construite sa passion. L'audacieux pari du Style Council entrainera peu à peu Paul Weller dans une impasse artistique et verra dans un même temps la critique proclamer prématurément la fin de sa carrière. Son retour n'en sera que plus éblouissant. Exemple sans équivalent dans l'histoire de la pop anglaise, la carrière solo de Paul Weller le verra peu à peu se réinventer et révéler une oeuvre polymorphe qui, plus de quarante ans après ses débuts, ne cesse de surprendre par sa fraîcheur et sa recherche constante. Ignorer son parcours ce n'est ni plus ni moins que se priver de l'un des chapitres essentiels de la musique moderne. L'humble pari de ce livre est de rendre justice à l'une des plus belles histoires de la pop anglaise.

Nick Cave

Paroles de fans

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Par Pedro Peñas Y Robles
27 mai 2019
Prix : 28 €

Extrait :

Écrire un livre sur Nick Cave, c'est tenter d'élucider la magie des mots et des notes que le prédicateur australien déverse sur le monde depuis une quarantaine d'années. La musique de Nick Cave et des Bad Seeds s'est insinuée un jour dans la vie de ses nombreux fans pour ne plus jamais les quitter. Voir Nick Cave en concert, c'est ressentir des émotions à fleur de peau, son charisme électrique n'est pas pour rien dans la construction de ce culte, et c'est ce dont des fans témoignent dans ce nouvel ouvrage de la collection Paroles de fans. Voir les Bad Seeds sur scène, c'est atteindre un sommet cathartique et spirituel, que fans et profanes reçoivent encore de nos jours comme un cadeau des cieux. Nick Cave est un chamane, et son culte s'étend au-delà de ses albums et de la scène sur laquelle il excelle, pour se distiller dans la prose exaltée de ses romans. Nick est un artiste complet, au même titre que ceux de la Renaissance. L'auteur a voulu interroger dans ce livre divers fans, auteurs et artistes, qui aiment profondément Cave. Parfois intime, parfois universel et mystique, le sentiment qui lie tous ces fans au chanteur australien se rapproche d'une expérience spirituelle unique. Le drame qui l'a touché en plein coeur en 2015 n'a pas entaché sa trajectoire poétique et musicale. La dévotion de ses fans s'est métamorphosée en amour. Et c'est de cet amour dont se nourrit l'artiste aujourd'hui pour continuer sa quête.

Deep Purple

La bataille fait rage (1983-2009)

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Par Martin Popoff
19 avril 2019
Prix : 34 €

Extrait :

On ne change pas une équipe qui gagne. Mais, comme lors d'une compétition de foot, il est bon d'avoir des remplaçants. Ce deuxième et dernier tome, consacré à la folle virée discographique de l'un des plus importants groupes de rock depuis les débuts du genre, redémarre sur les chapeaux de roues d'une Mercedes sans permis, via les facéties de Ritchie Blackmore, l'Homme en Noir, ses guitares et ses perruques, reprenant du service au sein de Deep Purple avec pertes et fracas, mais aussi brio, moult canulars tordants et amour maniaque du ballon rond, avant de reclaquer pour toujours les portes du quintette britannique. Voyant lui succéder la fine fleur des guitar heroes américains - les virtuoses Joe Satriani et Steve Morse -, les increvables ou presque Jon Lord et Ian Paice célèbrent l'arrivée de Don Airey aux grandes orgues et le retour définitif de Roger Glover à la production comme à la quatre-cordes, tandis que ça s'agite devant le micro : qui, de Joe Lynn Turner (ex-Rainbow) et Ian Gillan (jadis tenant du titre) va l'emporter dans cette bataille sans trève et sans merci entre égos explosifs, carrières solos hasardeuses, side-projects séduisants et pannes d'inspiration ? Dans ce chapitre, qui retrace un quart de siècle de heavy metal et pop culture, on empruntera un avion branlant pour l'Ukraine, on sera frappé dans les toilettes par la main de Dieu, on chantera sous la neige, on s'endormira dans des spaghettis, on réveillera Eric Clapton à trois heures du matin, on vivra un accident de montgolfière, on pestera violemment contre l'Union Européenne, on touchera à la musique celtique, au folk, au funk, au 5/4, aux gammes turques, égyptiennes, marocaines ou indiennes, au psyché comme à la variété et au-delà pour produire des albums toujours plus Purplesques, mais pas avant deux ou trois matchs de foot opposant techniciens et musiciens puis une soirée magique au pub. Parce que, même métissé de yankees géniaux, Deep Purple, c'est l'esprit immortel d'une certaine Angleterre, qui résiste à tout. Le présent volume retrace la carrière du groupe depuis sa reformation/déformation perpétuelle en 1984 jusqu'aux premiers disques avec Don Airey et Steve Morse. Il fait suite à Deep Purple : De la fumée sur l'eau (Camion Blanc).

New York Sixties

Le rock à New York 1963 - 1969

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Par Didier Delinotte
19 avril 2019
Prix : 30 €

Extrait :

Sur les décombres de la beat generation, des protest-singers, des éphémères idoles du college rock et des girls groups (les Shangri La's venaient de là-bas), une faune bizarre dans son anti-conformisme et sa diversité d'inspiration bâtissait disques après disques le nouveau son de la ville. Ils s'inspiraient de leurs aînés du folk et du blues, mais y insufflaient l'énergie prométhéenne du rock tout en s'éclatant dans toutes les directions (folk-rock, blues-rock, jazz-rock ou protest-song dadaïste à la Fugs, les Mothers Of Invention de là-bas). Ils jouaient dans les mêmes lieux, le Nite Owl Café, le Club Au Gogo, le Café Wah, le Gaslight, le Gerde's Folk City, le Bitter End, le Village Gate, qui avaient vu débuter des folk-singers empruntés ou gueulards, des plus connus (Dylan) aux plus obscurs (tous ces Llewyn Davis oubliés). New York Sixties donc : quatorze groupes, un duo et un chanteur, tous new-yorkais (ou assimilés) dont on narrera l'histoire, sans oublier la figure totémique de Dylan - new-yorkais du Minnesota - qui n'apparaîtra dans ces pages que comme un deus ex machina. Pour le reste, les Four Seasons, le Lovin' Spoonful, Simon & Garfunkel, les Young Rascals, Tommy James & The Shondells, le Blues Project, Vanilla Fudge, les Blues Magoos, le Band, le Paul Butterfield Blues Band, les Fugs, le Velvet Underground, Tim Hardin, Neil Diamond, Jimi Hendrix ; jusqu'à Blood Sweat And Tears et des groupes moins connus de cet underground newyorkais qui allait jeter les bases du punk-rock américain. New York City / New York Sixties. Le jeu de mots est facile, mais la scène rock de ce New York des années 60 méritait bien un livre et c'est chose faite.

Billy Joel

L’histoire du Piano Man

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Par Dominique Grandfils
18 mars 2019
Prix : 30 €

Extrait :

Enfant du baby-boom, Billy Joel a débuté sa carrière de musicien au milieu des années 60 après avoir eu une révélation en regardant le passage des Beatles au Ed Sullivan Show. Le pianiste s'est essayé au psychédélisme et même au hard rock avant de s'orienter vers la pop. Le succès ne fut pas immédiatement au rendez-vous et Billy Joel douta de ses capacités au point de tenter de mettre un terme à sa propre vie. Son indéniable talent fut reconnu et le petit musicien de Long Island devint une star internationale qui raconta sa vie à travers ses chansons. Après son divorce, en 1994, Billy Joel décida qu'il ne se livrerait plus à travers ses textes et prit l'incroyable décision d'arrêter de publier de nouvel album pop. Homme de parole, il n'a jamais trahi ce serment, sauf pour deux titres. Il se contente de retrouver son public sur scène et de puiser dans son immense répertoire. Depuis janvier 2014, il se produit, une fois par mois, au Madison Square Garden de New York devant ses fans venus des quatre coins de la planète. Ces concerts mensuels affichent complets dès la mise en vente des billets et permettent à l'artiste de poursuivre cette franchise exceptionnelle signée avec le music-hall new-yorkais. Dans cet ouvrage, vous retrouverez le parcours musical d'un musicien hors norme avec ses moments de gloire et des périodes plus sombres. Vous croiserez également quelques amis de Billy Joel : Paul McCartney, Elton John, Bruce Springsteen, Ray Charles, Paul Simon et bien d'autres.

Chokebore

Days Of Nothing

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Par Thierry Jourdain
16 février 2019
Prix : 30 €

Extrait :

Si Chokebore fait partie du fourre-tout « groupe indépendant américain », la presse musicale, ayant toujours besoin de sous-genres et d'étiquettes qualifie leur musique de « SadCore », un genre qui se distingue par des paroles tristes, des mélodies mélancoliques et des tempos lents, une étiquette pas si éloignée que ça du « Shoegaze » émergeant au même moment de l'autre côté de l'Atlantique, en Angleterre. « Nous n'avons jamais eu l'impression d'appartenir à une scène » déclare son charismatique leader Troy Von Balthazar « Nous faisons une musique beaucoup trop bizarre pour ça… même si j'aurais aimé que l'on soit plus proches d'autres groupes ». Car le seul groupe à faire de la musique comme Chokebore, c'est Chokebore lui-même. Aller à un concert de Chokebore, à l'instar d'un My Bloody Valentine ou plus récemment d'un A Place To Bury Strangers, se voulait une expérience au bord de la rupture, un raz de marée, un monstre émouvant et destructeur de tympans. Entre lyrisme et violence. En 1989, Troy sort en autoproduction un premier enregistrement avec la formation précédant Chokebore, Dana Lynn. Trente ans plus tard, en 2019, sa discographie solo devient aussi importante que celle avec Chokebore (cinq albums entre 1993 et 2002), avec la sortie de son cinquième album en tant que Troy Von Balthazar. L'occasion de marquer le coup et de célébrer trente ans d'écriture par un livre qui rendrait hommage à lui et à son groupe culte pour toute une génération.

Thurston Moore

We sing a new language

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Par Nick Soulsby
18 janvier 2019
Prix : 34 €

Extrait :

We Sing A New Language est le premier compte-rendu minutieux du travail de Thurston Moore qui compte des centaines d'enregistrements, que ce soit en solo ou via des collaborations, par la voix de ses divers collègues relatant ses réussites dans une grande variété de démarches pleine d'inventivité, le fil conducteur restant le dévouement passionné de Moore à la musique. De la célébration de Fluxus au noise et à l'improvisation en passant par la guitare acoustique et le black metal, sa carrière défie tout résumé mais méritait amplement cette exploration soigneuse. S'étendant de 1978 - avec Sonic Youth, présent bien avant le « rock alternatif » et toujours prêt à expérimenter - à aujourd'hui, l'ouvrage de Nick Soulsby emmène le lecteur à l'intérieur de ce processus créatif, se saisissant de chaque changement clé, de chaque nouveau développement dans l'oeuvre de Moore, depuis l'époque où il fonctionnait dans l'orchestre de guitares de Glenn Branca jusqu'à son adoption sans réserve du free jazz et de l'impro au milieu des années 90. Ces pages sont remplies d'anecdotes issues de la scène rock new-yorkaise, au fil de l'évolution de l'industrie du disque, depuis le commerce de cassettes et de radiocassettes jusqu'aux actuels Spotify et autre PayPal. Anti-rock-star devenu de son vivant monument de la musique, c'est par sa curiosité insatiable que Thurston Moore, toujours heureux d'expérimenter, ne craignant pas de s'immerger dans de nombreux domaines musicaux et auprès d'un grand nombre d'artistes de toute discipline, a su rester un éternel adolescent. We Sing A New Language n'est pas une biographie de Thurston Moore mais un recueil d'anecdote par les musiciens et les artistes qui l'ont côtoyé. Les fans et les musiciens enthousiastes se régaleront de ces récits.

New York Rock

De l'ascension du Velvet Underground à la chute du CBGB

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Par Steven Blush
30 décembre 2018
Prix : 38 €

Extrait :

« Ce n'est pas une scène pour puritains : elle se nourrit de drogue et de sexe... C'est le creuset même de l'expression : tous ceux impliqués dans l'art ou dans la musique tirent bénéfice de l'incertitude qui règne ici. » - Moby NEW YORK. Pendant cinquante ans, cette ville a représenté un test ultime et une scène pour la forme suprême d'art populaire de notre époque. ROCK. Glitter, punk / new wave, post-punk / no wave, hardcore new-yorkais, noise rock d'East Village, proto-rock alternatif / revival garage goth / indus, rock indépendant, ces pages sont remplies de tous les mouvements et contre-mouvements qui pourront vous venir à l'esprit. NEW YORK. La ville inspire une musique géniale, elle est le lieu de naissance et le terrain d'essai d'un kaléidoscopes de sous-cultures, et elle apporte la meilleure expérience possible aux vrais fans de rock'n'roll. ROCK. Plus de 600 pages d'anecdotes et de regards divers portés par les artistes qui ont fait la musique et ceux qui l'ont propagée : Lou Reed, Hilly Kristal, Joey Ramone, David Johansen, Kembra Pfahler, Paul Morrissey, Adam Horovitz, John Cale, Iggy Pop, Richard Hell, Bob Gruen et tant d'autres. NEW YORK ROCK. Depuis les stars qui ont changé le visage de la musique jusqu'aux fiascos qui ont ouvert la voie pour une prochaine vague d'innovations, tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la capitale de la musique.

Etienne Daho

Paroles de fans

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Par Nathalie Pillet
30 décembre 2018
Prix : 32 €

Extrait :

« Un parcours ça ne se fait jamais seul. Le talent, le travail et la chance, ça ne suffit pas. Il faut être accompagné par les bonnes personnes et depuis mes débuts, j'ai eu la chance de l'être. Le travail, le talent, la chance et les bonnes personnes, ça ne suffit pas non plus si on n'est pas élu par les autres, si on n'est pas élu par les gens qui vous regardent, qui vous aiment et qui aiment vos chansons et par cette personne qui est à la fois multiple et unique qui s'appelle le public. » (Victoires de la Musique, 2018). C'est de cette « personne à la fois multiple et unique » dont il est question dans ce livre : les fans d'Étienne Daho. Certains l'appellent familièrement « Étienne ». D'autres lui préfèrent la sobriété d'un « Daho » peut-être plus distancié mais tellement emblématique. Tous évoquent pourtant le même artiste. Celui avec lequel ils tissent un lien majuscule et indéfectible depuis plusieurs décennies. En livrant leurs témoignages sur les « collisions » entre leur existence et l'univers d'Étienne Daho, ces enfants pop sacrés mettent en lumière cette figure iconique de la scène française unanimement saluée tant pour la qualité de son oeuvre que pour l'exemplarité de son attitude. En remontant le cours de leur histoire commune, ils évoquent avec une sincérité poignante l'homme admirable, l'artiste singulier aux mille influences, se remémorent ces précieux premiers instants qui les ont fait coincer leur bulle dans la bulle pop du chanteur et revisitent avec le même émoi sa discographie de Mythomane à Blitz. En faisant parler d'une seule voix ces (sempiternels) petits enfants du siècle réunis pour le luxe et le mieux, l'auteure s'applique à rendre hommage à l'artiste à l'heure où celui-ci vient d'achever un Blitz Tour triomphal au cours duquel la magie et l'alchimie auront de nouveau opéré. Encore et toujours une nouvelle « étincelle ». Comme à chaque rendez-vous. Pas de hasard… Jamais.

Eric Clapton

L'éternelle jeunesse d'un vieux bluesman

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Par Eric Smets
30 décembre 2018
Prix : 32 €

Extrait :

L'histoire d'Eric Clapton est jonchée de situations dramatiques et de coups du sort qui auraient dû laisser l'homme abattu sur le bord du chemin. Seule sa passion dévorante pour le Blues lui aura permis de tenir le coup et de continuer. Cette passion sera son leitmotiv tout au long de sa carrière et Robert Johnson restera le phare qui lui indiquera le cap à maintenir quels que soient les changements et les modes dans le monde de la musique depuis ses débuts en 1963. À travers Eric Clapton, qui a commencé sa carrière en même temps que les Rolling Stones, c'est toute la mythologie du Rock qui est ici évoquée. En route pour un nouveau voyage à travers la carrière discographique de celui que l'on a un temps surnommé God et qui a pourtant su rester tellement humain, touchant par sa fragilité et ses errements. Ce livre est rythmé par la sortie de ses albums dont l'histoire et les petites histoires seront développées dans le détail. Nous évoquerons bien sûr ses diverses collaborations, apparitions et autres sessions durant lesquelles nous allons le retrouver aux côtés d'artistes tels que B.B. King, John Lee Hooker, Chuck Berry, Jerry Lewis, Carl Perkins, Ray Charles, les Rolling Stones, Paul McCartney, George Harrison, Ringo Starr, Bob Dylan, Brian Wilson, John Mayall, Elton John, The Band, Santana, The Allman Brothers Band, Taj Mahal, Buddy Guy, Jack Bruce, Joe Cocker, Rod Stewart, Bill Wyman, Steve Winwood, Sting, Tina Turner, Phil Collins, Kate Bush, Bob Geldof, J.J. Cale, Tony Joe White, Johnny Winter. Sans oublier des musiques de films tels que Retour vers le futur, La couleur de l'argent, la série des Arme Fatale, Homeboy, Wayne's World, Blues Brothers 2000 !

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