L'éditeur qui véhicule le rock !

Blue Öyster Cult

La carriere du mal

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Par Mathieu Bollon et Aurélien Lemant
17 mai 2013
Prix : 38 €

Extrait :

« Comic books. Télévision. Cauchemars. » Telle est la trinité pop-culturelle à l'oeuvre derrière les cinq hommes qui fondèrent à Long Island, sur les ruines de l'été de l'amour, le Blue Öyster Cult, seul « groupe de heavy metal pour intellectuels ». Dans un foisonnement d'influences coagulant rhythm'n'blues, hard boogie, pop psychédélique et rock progressif, des Doors à Steppenwolf et des Who aux Beach Boys, le Blue Öyster Cult est, tel que son nom le lui présageait, une formation culte au coeur du panthéon Rock'n'Roll. À ce jour, jamais aucun ouvrage en français n'avait été consacré à cette formation pourtant en exercice depuis la fin des années soixante : quatorze albums studio, quatre live épiques, les tournées mondiales en compagnie de Black Sabbath ou Uriah Heep, les textes signés Patti Smith ou Richard Meltzer, les collaborations avec les écrivains Michael Moorcock, Jim Carroll ou John Shirley, sans oublier Sandy Pearlman, l'homme dont la légende rapporte qu'il appliqua le concept de heavy metal au champ musical. Mathieu Bollon et Aurélien Lemant livrent avec La carrière du mal un rockumentaire écrit à quatre mains / deux cerveaux et qui, tout en s'éloignant des bio classiques, s'attaque chronologiquement à la discographie du B.Ö.C, dans une analyse des contenus (lyrics, pochettes, morceaux) mise en relation avec l'Histoire du XXe siècle : conspiracy theory, nazisme, aliens, spiritisme, paranormal, cinéma d'horreur, littérature SF, Hells Angels, hermétisme, sorcellerie, SM, fétichisme, polémologie… et tout ce qui a pu inspirer les mouvements punks et new wave dans leurs thèmes de prédilection et leurs esthétiques paramilitaires et cryptofascistes. Par-delà le hard rock, ce livre est une invitation à s'immerger dans les musiques ensorcelées issues du blues et à se poser la question de la nature magique du rock'n'roll.

Van Halen

Everybody Wants Some

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Par Ian Christe
21 novembre 2013
Prix : 36 €

Extrait :

Van Halen, c'est toute une histoire ! C'est aussi la vôtre, souvenez-vous, au driving du coin dans le pick-up de papa… La Saga Van Halen vous fera vivre les aventures du groupe qui a révolutionné le rock, ses débuts et son ascension, puis les allées et venues des uns et des autres, la valse des chanteurs, les concerts annulés et les rumeurs les plus folles. Comment deux petits Hollandais formés à la musique classique vont-ils fonder le plus grand groupe de hard rock américain ? Quel secret détient Eddie pour avoir une telle maîtrise de sa guitare ? Qui, mis à part David Lee Roth et Sammy Hagar, a ce petit je-ne-sais-quoi dans son ADN lui permettant de chanter dans Van Halen ? Doit-on croire les légendes concernant les groupies, les nains et les détails des contrats ? Voici la vérité toute nue malicieusement étalée dans ces pages - c'est tout ce que vous avez voulu savoir sur ce groupe légendaire sans jamais oser l'imaginer. Ian Christe s'est livré pour nous à un travail d'historien. Dûment informé, l'auteur d'une Histoire complète du Heavy Metal a su saisir à la fois l'enthousiasme passionné des fans et l'absurdité inhérente à cet égo collectif nommé Van Halen. Dans une prose alerte, Everybody Wants Some est un conte de fées en lumière réelle… Vive, entraînante, cocasse et riche en anecdotes, la saga Van Halen couvre l'épopée de ce groupe mythique, jusqu'aux diverses reformations. Entrez dans la légende qui a bercé votre adolescence.

La trilogie Bowie-Eno

Influence de l'Allemagne et de Brian Eno sur les albums de David Bowie de 1976 à 1979

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Par Matthieu Thibault
15 avril 2011
Prix : 30 €

Extrait :

En 1976, après l'exubérance glam rock et la soul désincarnée, David Bowie opère une nouvelle et radicale transformation. Autrefois fasciné par l'Amérique et ses rêves hollywoodiens, le dandy européen, alors âgé d'à peine trente ans, tourne le dos à la célébrité et laisse désormais place à l'essentiel : la musique. Par l'entremise de collaborateurs aussi géniaux et variés qu'Iggy Pop, Robert Fripp, Carlos Alomar, le fidèle producteur Tony Visconti et, surtout, le « non-musicien » Brian Eno, Bowie réalise une trilogie d'albums essentiels qui élargit les frontières de la pop. Low, "Heroes" et Lodger transforment le studio d'enregistrement en instrument de création ultime dans lequel Bowie, Eno et Visconti sculptent, façonnent et subliment le son du futur en devenir. Autant inspirée par la décadence berlinoise des années trente que le rock expérimental hypnotique des allemands Neu! ou Kraftwerk, la Trilogie Bowie-Eno - souvent désignée par l'appellation inexacte de Trilogie Berlinoise - marque l'acte fondateur du post-punk et de la new-wave. Sans elle, pas de Joy Division, ni de The Cure, ou plus récemment, de Radiohead ou de Blur. Elle illustre ainsi l'évidence : l'artiste ne peut se renouveler, et donc exister, sans expérimenter et défricher des terrains jusqu'alors inexplorés. Ce livre raconte comment la superstar Bowie redéfinit les standards pop comme l'avaient fait les Beatles dix ans avant lui. Il détaille les influences croisées de l'Allemagne et de Brian Eno - ses idées, ses concepts, sa musique -, autant qu'il décrit les séances d'enregistrements et analyse les albums par une approche sérieuse adaptée au langage rock.

Hard Rock & Heavy Metal

40 années de purgatoire - Tome 1

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Par Thierry Aznar
15 avril 2014
Prix : 38 €

Extrait :

Beaucoup considèrent « Helter Skelter » des Beatles (1968) comme le premier titre de hard rock. Au printemps 1970, lorsque le grand groupe anglais annonça officiellement sa séparation, une autre formation, anglaise elle aussi, avait déjà pris la relève : l'album Led Zeppelin 2 était au sommet des hit-parades du monde entier. Dans un déferlement de solos de guitare ravageurs et de roulements de batterie propres à assommer un éléphant, les kids de 1970 balançaient leur argent de poche dans les juke-boxes pour s'éclater aux sons de « Whole Lotta Love » du Zep déjà cité, de « Black Night » de Deep Purple et de « Paranoid » de Black Sabbath. La Sainte-Trinité du riff qui tue ! Au total, en moins de dix minutes, le hard rock était rentré dans les moeurs. Et cela fait près d'un demi-siècle que ça dure ! Une fois en terrain conquis, les p'tits gars aux cheveux longs comme un jour sans pain allaient pouvoir se lâcher sur des morceaux beaucoup plus élaborés : le même trio infernal publiera « Kashmir », « Child In Time » et « Sleeping Village ». Thierry Aznar, discothéquaire, développe dans le présent volume sa passion et sa ferveur pour le hard rock et le heavy metal en nous proposant d'innombrables chroniques d'albums, connus ou moins connus, à emporter sur une île déserte… Question valises, c'est du lourd. Du heavy, le terme s'impose !

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