Tout le monde aurait aimé connaître Georges Brassens, le côtoyer. Tout le monde aurait aimé assister au moins une fois à un concert de lui. Tout le monde aurait voulu l'appeler tonton, ou être son copain, sans toutefois lui taper sur l'épaule car il forçait le respect. Personne n'aurait voulu qu'il meure, surtout si jeune. Mais il est toujours vivant, grâce à ses chansons-poèmes qui ont marqué durablement la culture française. Et grâce à tous ceux qui l'ont connu, de près ou de loin, les copains et ceux qui auraient aimé l'être. Brassens immortel bien sûr, Brassens le poète, Brassens le copain, l'anar, le philosophe, l'ami des animaux. On a tous quelque chose de Georges Brassens et tous ceux qui en parlent ici ne diront pas le contraire… Il a semé des pâquerettes et des têtes de mort un peu partout et c'est pour cela qu'ils sont presque tous là pour le remercier.
Jean-Max Méjean, écrivain et critique de cinéma, est auteur d'une vingtaine d'ouvrages sur de grands cinéastes, tels que Federico Fellini, Woody Allen, Pedro Almodovar, Emir Kusturica, Sergueï Paradjanov, Jean Vigo. Auteur, entre autres, d'un livre paru chez L'Harmattan, Almodovar, les femmes et les chansons. Il écrit dans Jeune Cinéma, collabore au site www.iletaitunefoislecinema.com et tient le blog « CinéLivres » consacré aux livres de cinéma pour le site littéraire de L'Obs, http://bibliobs.nouvelobs.com/blog/cinelivres. C'est son premier livre sur Georges Brassens dont il est un fervent admirateur.
Auteur | Jean-Max Méjean |
Date de parution | 29 septembre 2018 |
Prix | 28 € |
Nombre de pages | 172 |
ISBN | 9782378480585 |
Code | CB405 |