L'éditeur qui véhicule le rock !

Jamaïca Session

Tome 1

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Par Yannick Maréchal
15 juin 2015
Prix : 40 €

Extrait :

Une des spécificités du Reggae est d'être composé de multiples courants musicaux. Les racines de ce mouvement prennent naissance en Jamaïque dès la fin des années 50 avec le Mento / Calypso et le Jamaican Shuffle débouchant sur le Ska, puis évoluant à travers le Rock Steady et l'Early Reggae pour aboutir au Roots Reggae / Dub, dont l'apogée se situe au milieu des années 70. Cette période, couvrant globalement une vingtaine d'années (du tout début des années 60 jusqu'au tout début des années 80), est sans conteste l'Âge d'Or de la musique jamaïquaine : les disques se succèdent à une cadence infernale et la qualité est toujours au rendez-vous. Dans cet ouvrage sont traités uniquement les innombrables enregistrements originaux de ces deux décennies, à travers plus de 250 groupes et artistes et 1 400 albums. L'auteur : Yannick Maréchal est passionné de musique jamaïquaine (sous tous ses aspects). À partir des années 80 il édite trois fanzines, Jamaica Session, Trumpet Of Zion puis The Reggae Injection. Il est l'auteur en 2005 de l'Encyclopédie du Reggae parue aux éditions Alternatives. Grand amateur de littérature et de cinéma fantastique il a également participé à l'ouvrage Gore - Dissection d'une collection de David Didelot sorti aux éditions Artus Films en 2014. Il prépare actuellement un ouvrage sur les loups-garous et les vampires dans l'histoire du cinéma, des origines à nos jours.

Nothin' To Lose

Les origines de Kiss (1972-1975)

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Par Ken Sharp
20 octobre 2017
Prix : 38 €

Extrait :

Nothing To Lose: The Making Of KISS (1972 -1975) relate pour la première fois les années capitales dans la formation de KISS, groupe de rock légendaire, avec, pour point d'orgue, le succès international de « Rock And Roll All Nite », un titre qui, quarante ans plus tard, demeure un hymne rock indestructible. Rassemblant plus de deux cents interviews, cet ouvrage propose le compte rendu captivant, intime et pris sur le vif de leurs débuts, relatant leurs batailles et leurs premières victoires jusqu'au statut de superstars. Compilant les interviews de Paul Stanley, Gene Simmons, Ace Frehley et Peter Criss, ainsi que de producteurs, d'ingénieurs du son, de managers, d'employés de maisons de disques, de roadies, de propriétaires de clubs, d'agents de réservation, de promoteurs de concerts, de designers, de photographes, de publicitaires, de journalistes et de musiciens avec lesquels KISS partagea l'affiche comme Alice Cooper ou Blue Öyster Cult, les New York Dolls ou les Ramones, c'est le récit de l'ascension d'un groupe irrésistible et inoubliable qui écrivit son nom en lettres de feu au panthéon du rock. « Un livre électrisant sur le groupe qui a changé l'histoire du rock'n'roll en restant droit dans ses bottes pour imprimer sa marque d'éclairs heavy metal. J'approuve ! » - Joe Perry, Aerosmith. « Ce texte est la véritable histoire du rêve américain rock'n'roll » - Ted Nugent. « Vous qui croyiez tout savoir sur KISS… vous aviez tort. Retraçant les débuts de KISS, Nothing To Lose propose le son de cloche de ses membres, de leurs amis, d'acteurs de l'industrie du disque - dont votre humble serviteur ! Si vous voulez découvrir comment Gene Simmons a appris à cracher du feu et quel a été le premier maquillage de Paul Stanley, ce livre est pour vous. » - Alice Cooper

Frenchy But Chic

Chroniques 1979-1982

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Par Jean-Eric Perrin
17 mai 2013
Prix : 34 €

Extrait :

À la rentrée de 1978, un jeune homme franchit le seuil du prestigieux magazine Rock & Folk, et propose la tenue d'une rubrique mensuelle consacrée aux groupes post-punk français. « Ça s'appellerait Frenchy But Chic ! » Sans raison évidente, on lui dit banco, et Frenchy But Chic naît, sur une page mensuelle, dans le numéro de novembre. Militant d'une vision moderne et d'une éthique vintage du rock, Frenchy But Chic va devenir rapidement l'organe officiel de la french new wave, et l'endroit où, pour la première fois, furent imprimés les noms de Taxi Girl, Étienne Daho, Lio, Rita Mitsouko, KaS PRODUCT, Orchestre Rouge, Elli et Jacno, Indochine, Les Avions, La Souris Déglinguée, et tant d'autres à la gloire plus fugace. Près de 35 ans plus tard, tandis que les vagues de nouveaux groupes se succèdent depuis, et que ceux du moment se réfèrent clairement à cette période, cette épopée méritait bien qu'on la fasse revivre, à travers la réimpression de l'intégrale des 47 épisodes de cette rubrique mythique. Pour saluer cette renaissance, nombre d'acteurs de la saga ont offert leur contribution à ce livre : Étienne Daho, Elli Medeiros, Lio, Artefact, Métal Urbain, Marie et les Garçons, Modern Guy, KaS PRODUCT, Marie France, Extraballe, Ici Paris, Tai Luc, Les Avions, Indochine, Daniel Darc et d'autres reviennent en 2013 sur leurs souvenirs d'un temps où tout était à créer.

Ministry

The lost gospels according to Al Jourgensen

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Par Al Jourgensen
28 septembre 2017
Prix : 36 €

Extrait :

« Peu de musiciens se sont permis une vie aussi sex, drugs & rock'n'roll avec une telle envie de défier la mort - et sur une aussi longue période - que Al Jourgensen, le leader de toujours de Ministry. Partout dans le monde, on peut désormais lire sa légende… Une lecture en montagnes russes. En plus de passer derrière le rideau de la création de classiques de metal indus comme The Mind Is A Terrible Thing To Taste et Psalm 69, Jourgensen se permet des potins sur des noms connus dont il a croisé la trajectoire au cours de sa carrière. » - Rollingstone.com Ministry : The Lost Gospels, les mémoires explosifs où tous les coups sont permis, de Al Jourgensen parrain légendaire de l'indus et fondateur de Ministry, est à la fois répugnant et captivant, révélant un personnage sans compromis et dont la vie n'a pas toujours été des plus simples. Jourgensen, l'un des artistes les plus inventifs et les plus prolifiques à s'être jamais emparé d'une guitare, d'une mandoline, d'un harmonica ou d'un banjo, ne voulait qu'être musicien ; il est devenu rock star. Et la gloire et la fortune ont bien failli le tuer. Toxicomane depuis l'âge de quinze ans, Jourgensen s'est vautré durant vingt-deux ans dans l'héroïne, la cocaïne, la méthadone et l'alcool avant de devenir clean, de se racheter une conduite et de trouver de nouvelles raisons de vivre. Avec humour, chaleur et décadence, parsemé de drames, The Lost Gospels se veut le récit épique d'un renégat iconoclaste. « Concernant le sexe, la drogue et le rock'n'roll, on n'en a jamais assez - c'est du moins ce qu'on lit. Mener une telle existence, et si longtemps, tient de l'exploit, de ceux qui valent bien des mémoires, Ministry… » - USA Today Al Jourgensen est un producteur, compositeur et musicien nominé six fois aux Grammy Awards. L'artiste ne compte plus les disques de platine et sa discographie couvre trente années. Après son retour dans le droit chemin en 2002, il produit encore cinq albums avec Ministry et lance son propre label, 13th Planet. Il vit à El Paso au Texas. Jon Wiederhorn est coauteur de l'ouvrage Louder Than Hell: The Definitive Oral History Of Metal, journaliste notoire à Revolver et chroniqueur à Guitar World, Yahoo.com, eMusic.com et Noisey.com. Il vit à Brooklyn, à New York, avec sa famille.

Hard Rock & Heavy Metal

40 années de purgatoire - Tome 3

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Par Thierry Aznar
20 mai 2015
Prix : 38 €

Extrait :

Les albums essentiels du hard rock et du heavy metal sont, pour la plupart, déjà bien identifiés par tous les amateurs de musique plombée et à haut voltage, les grands noms du genre aussi. De Led Zeppelin IV à Paranoid de Black Sabbath en passant par Machine head de Deep Purple ou Back in black d'AC/DC, tous ces disques et bien d'autres sont probablement déjà dans toutes les discothèques hard rock et heavy metal du monde entier. Nul besoin donc d'en dresser une nouvelle liste superflue ou d'en proposer des chroniques redondantes : ces grands disques ont déjà reçu tous les honneurs ! En revanche, d'autres, parfois tout aussi essentiels mais bien moins connus, pourrissent dans les enfers du hard rock et du heavy metal depuis trop longtemps entre indifférence, mépris et ignorance. Il est temps d'en entrebâiller les portes pour tenter de réhabiliter quelques-uns de ces disques maudits, de ramener à la lumière une poignée d'albums oubliés et de faire changer d'avis sur certains autres mal considérés. Ce livre, troisième tome d'une trilogie, en est l'occasion à travers les chroniques, soit d'albums de groupes méprisés par les critiques, soit de groupes inconnus ou sous-estimés, soit enfin d'albums mal aimés de formations pourtant célèbres. Ces chroniques s'étalent, entre 1968 à 2014, sur plus de quatre décennies de purgatoire du hard rock et du heavy metal...

Hawkwind

La Saga

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Par Carol Clerk
21 mars 2013
Prix : 40 €

Extrait :

This is Hawkwind… Soyez prudent ! Chaos, drogues, sexe, bagarres, complots, menaces, mutineries et vengeances sont au menu. L'histoire d'Hawkwind est une histoire incomparable où tous les coups sont permis. Lemmy, futur leader de Motörhead et Ginger Baker, légendaire batteur de Cream, ont été tous les deux recrachés comme des noyaux par ce groupe livré au chaos perpétuel. Ils se battaient contre le pouvoir, mais aussi entre eux, comme des chiffonniers, et souvent pour des pacotilles. Mais cette histoire regorge aussi de poésie, de fantastique, de science-fiction haut de gamme, de danseurs et de costumes extravagants, de spectacles hors normes, de sons électroniques et de stridences, de folie psychédélique et de grosses lignes de basse, de light-shows et de riffs hypnotiques. Hawkwind, c'est tout cela jeté dans un énorme shaker, et même beaucoup plus encore. Cette saga chaotique s'étend sur quatre décennies. C'est l'histoire d'un groupe issu de l'underground anglais des années soixante et qui, jusqu'à aujourd'hui, s'est bâti une solide réputation, en jouant dans les festivals gratuits et en donnant des concerts de soutien. Avec l'invention de la transe à base de riffs hypnotiques, Hawkwind était diablement en avance sur son temps. Mick Slattery, premier guitariste du groupe, en frémit encore : « Dikmik bidouillait son générateur, Nik soufflait comme un dingue dans son sax, Dave et moi on jouait en feedback, comme Jimi Hendrix, et Terry massacrait ses fûts. Les stroboscopes jetaient dans ce chaos une pointe de folie furieuse ! » Ce space-rock psychédélique et électronico-punkoïde unique au monde qui flirtait avec l'avant-garde va d'ailleurs initier la scène électro en Angleterre. Les fans de metal et les bikers sont toujours venus grossir les rangs d'un public resté fidèle. Comme par miracle, Hawkwind a survécu. Tel un vieux capitaine de flibuste, Dave Brock maintient le cap, l'oeil rivé sur l'horizon.

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