L'éditeur qui véhicule le rock !

Muse

Paroles de fans

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Par Aurélie Massé
28 septembre 2017
Prix : 34 €

Extrait :

Bellamy, Howard, Wolstenholme. Trois noms qui ont déjà marqué l'Histoire de la Musique. Car Muse est sans aucun doute l'un des rares groupes à avoir bouleversé le rock ces deux dernières décennies. Muse, ce sont trois génies qui élèvent leurs instruments au-delà même des limites humaines. Muse, c'est surtout 21,5 millions d'albums vendus dans le monde et plus de 1 400 concerts donnés depuis 1994. Mais derrière le plus grandiose des artistes, il y a toujours un public. Et ce livre offre aujourd'hui la parole à ces voix multiples et précieuses des fans de Muse. Ils ont été plus de 200 à répondre présent pour se confier avec une inspiration et une confiance extraordinaires. Entre exaltation et délicatesse, avec humour, avec ivresse, ils se racontent dans cette relation si particulière qui enlace l'admirateur à l'idole. Ils évoquent le choc de la toute première écoute, de la première rencontre parfois, ils plongent dans leurs émotions les plus pures, ils livrent les désillusions comme les instants de grâce. Et leurs voix se répondent, parfois enflammées ou fragiles, parfois plus brutes ou plus secrètes. Mais toujours sincères et profondes. On n'encense pas des génies du rock si on n'est pas rock soi-même. Et les fans de Muse sont aussi flamboyants et transportés que les trois virtuoses. Voyager aux côtés des fans de Muse est une expérience fabuleuse dont on ressort ébloui et plus grand.

Une histoire de la Dance Culture

De Kingston à Tokyo

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Par Alexandre Augrand
23 mai 2017
Prix : 32 €

Extrait :

Hip-Hop, Disco, House, Techno… toutes ces musiques formant la Dance Culture sont nées et ont évolué grâce à l'inspiration d'une poignée de DJs. Une Histoire de la Dance Culture en propose une relecture de la thèse intitulée Le DJ, médiateur de transferts culturels dans la Dance Culture. Comment des cultures locales sont devenues globales qui s'appuie sur les transferts culturels et le rôle de médiateurs que prennent les DJs qui, en s'inspirant d'innovations techniques, d'autres styles musicaux et de contextes sociopolitiques venant de Jamaïque, d'Europe, du Japon ou des États-Unis, créent ces différents mouvements musicaux puis les diffusent dans leurs quartiers, leurs villes, leurs pays et enfin dans le monde entier avec toujours le même but, faire danser. Une Histoire de la Dance Culture retrace un demi-siècle d'évolution musicale en partant des origines de la culture musicale sound-systems jamaïcaine, vues comme les prémices de la Dance Culture à l'arrivée des premiers soundsystems, jusqu'aux missions des travellers et l'émergence de quelques scènes en Europe de l'Est, en Afrique et en Extrême-Orient sans non plus oublier les expériences techniques et musicales menées par des musiciens, des inventeurs et des mouvements artistiques et contestataires du début du XIXe jusqu'au milieu du XXe siècle qui ont offert de nouvelles perspectives et une autre façon de penser la musique.

Nothin' To Lose

Les origines de Kiss (1972-1975)

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Par Ken Sharp
20 octobre 2017
Prix : 38 €

Extrait :

Nothing To Lose: The Making Of KISS (1972 -1975) relate pour la première fois les années capitales dans la formation de KISS, groupe de rock légendaire, avec, pour point d'orgue, le succès international de « Rock And Roll All Nite », un titre qui, quarante ans plus tard, demeure un hymne rock indestructible. Rassemblant plus de deux cents interviews, cet ouvrage propose le compte rendu captivant, intime et pris sur le vif de leurs débuts, relatant leurs batailles et leurs premières victoires jusqu'au statut de superstars. Compilant les interviews de Paul Stanley, Gene Simmons, Ace Frehley et Peter Criss, ainsi que de producteurs, d'ingénieurs du son, de managers, d'employés de maisons de disques, de roadies, de propriétaires de clubs, d'agents de réservation, de promoteurs de concerts, de designers, de photographes, de publicitaires, de journalistes et de musiciens avec lesquels KISS partagea l'affiche comme Alice Cooper ou Blue Öyster Cult, les New York Dolls ou les Ramones, c'est le récit de l'ascension d'un groupe irrésistible et inoubliable qui écrivit son nom en lettres de feu au panthéon du rock. « Un livre électrisant sur le groupe qui a changé l'histoire du rock'n'roll en restant droit dans ses bottes pour imprimer sa marque d'éclairs heavy metal. J'approuve ! » - Joe Perry, Aerosmith. « Ce texte est la véritable histoire du rêve américain rock'n'roll » - Ted Nugent. « Vous qui croyiez tout savoir sur KISS… vous aviez tort. Retraçant les débuts de KISS, Nothing To Lose propose le son de cloche de ses membres, de leurs amis, d'acteurs de l'industrie du disque - dont votre humble serviteur ! Si vous voulez découvrir comment Gene Simmons a appris à cracher du feu et quel a été le premier maquillage de Paul Stanley, ce livre est pour vous. » - Alice Cooper

Jesus Elvis Junkie Blues

De GG Allin à Lux Interior, Nick Cave & Stu Spasm

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Par Merle Leonce Bone
21 juin 2018
Prix : 30 €

Extrait :

Que l'on n'attende pas de ce JESUS ELVIS JUNKIE BLUES une aimable hagiographie collectant les faits à la manière d'un universitaire critique-rock. Ici est un récit sauvage, punk et romantique, innervé par une écriture brûlante, dont le fil conducteur d'électricité, l'affection vasculaire, serait GG Allin, ce diable d'homme, de sa naissance à sa mort. Merle Leonce Bone y raconte cette vie indocile, à sa façon. Le lecteur, en état second, doit s'attendre, au rythme des dérives, à emprunter des portes, basculer et voyager à travers des visions, des anecdotes au factuel chirurgical, des géographies inquiétantes, où l'on y croise tant des figures tutélaires, Nick Cave, Kid Congo Powers, Rowland S. Howard, Blixa Bargeld, Theo Hakola ou Lydia Lunch, à la même enseigne, épique, que des maudits, artisans orfèvres de ce radical underground. Que l'on n'espère pas de ce JESUS ELVIS JUNKIE BLUES qu'il se fasse tour-opérateur, guide touristique sur les sentiers balisés d'une Histoire officielle morte, pourrie sous le botox. Ici est un hommage vibrant à la part la plus sombre, musique du Diable sous Haute Dépendance Stooges, Birthday Party, Scientists, Gun Club & Cramps, d'un certain Rock'n'roll possédé, tapi dans l'ombre, celui des caves, des cryptes, des garages, des marécages et des backrooms. Fruit de trente années d'une passion indéfectible, obsessionnelle, à dénicher des tubercules, creepy, sleaze & swamp, rares, Merle Leonce Bone y conte, néo-dada expressionniste, les scènes musicales de ceux qui, de la fin des années 70 aux années 80 et 90, à Melbourne, Berlin, Adelaide, Sydney, San Diego, Philadelphie, Prague ou Boston, ont dévoué leur vie et leur âme à l'hybridation dangereuse du blues, du rock urbain, de l'art brut, de la shooteuse et du voodoo. Ce qu'est aussi ce Livre d'essence Monstre : un cri de guerre esthétique conspuant l'hygiénisme bigot, consumériste, ambiant.

Queen

Paroles de fans

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Par Marie Berginiat
21 septembre 2021
Prix : 30 €

Extrait :

Queen fait partie des groupes qui ont su renouveler leur musique et leur esthétique, la formation devenant au fil du temps parfaitement polyvalente et hybride. Capable de basculer dans tous les genres musicaux, le quatuor britannique a su s'imposer grâce à des spectacles dantesques et un soin méticuleux pour son image. Il n'est donc pas étonnant que le premier fanclub à avoir officiellement vu le jour soit celui de Queen, dès 1975, année de la sortie de l'un de leurs plus grands albums : A Night At The Opera. Dès lors, la communauté des fans drainés par Queen n'a jamais cessé de croître. Aujourd'hui encore, l'annonce de la tournée avec Adam Lambert et, avant cela, la sortie du film Bohemian Rhapsody, ont permis à toute une nouvelle génération de se plonger dans les plus grands morceaux de la formation et de tomber sous le charme de Freddie Mercury, Brian May, John Deacon et Roger Taylor, à l'instar de leurs parents et grands-parents. Difficile de trouver mieux que les fans pour parler du mastodonte Queen ! Du moment de la découverte de la musique à l'annonce du décès de Freddie Mercury, en passant par leurs expériences de concerts et leur avis sur les albums et bandes originales de Queen, les amoureux du groupe se sont prêtés au jeu, nous livrant des expériences parfois drôles, parfois plus touchantes, mais toujours avec une passion dévorante. France, Brésil, Royaume-Uni, Belgique, Israël… De nombreuses personnes à travers le monde ont décidé de s'unir pour faire une véritable déclaration à leur groupe préféré, leur adressant amoureusement : « God Save The Queen » !

New York Sixties

Le rock à New York 1963 - 1969

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Par Didier Delinotte
19 avril 2019
Prix : 30 €

Extrait :

Sur les décombres de la beat generation, des protest-singers, des éphémères idoles du college rock et des girls groups (les Shangri La's venaient de là-bas), une faune bizarre dans son anti-conformisme et sa diversité d'inspiration bâtissait disques après disques le nouveau son de la ville. Ils s'inspiraient de leurs aînés du folk et du blues, mais y insufflaient l'énergie prométhéenne du rock tout en s'éclatant dans toutes les directions (folk-rock, blues-rock, jazz-rock ou protest-song dadaïste à la Fugs, les Mothers Of Invention de là-bas). Ils jouaient dans les mêmes lieux, le Nite Owl Café, le Club Au Gogo, le Café Wah, le Gaslight, le Gerde's Folk City, le Bitter End, le Village Gate, qui avaient vu débuter des folk-singers empruntés ou gueulards, des plus connus (Dylan) aux plus obscurs (tous ces Llewyn Davis oubliés). New York Sixties donc : quatorze groupes, un duo et un chanteur, tous new-yorkais (ou assimilés) dont on narrera l'histoire, sans oublier la figure totémique de Dylan - new-yorkais du Minnesota - qui n'apparaîtra dans ces pages que comme un deus ex machina. Pour le reste, les Four Seasons, le Lovin' Spoonful, Simon & Garfunkel, les Young Rascals, Tommy James & The Shondells, le Blues Project, Vanilla Fudge, les Blues Magoos, le Band, le Paul Butterfield Blues Band, les Fugs, le Velvet Underground, Tim Hardin, Neil Diamond, Jimi Hendrix ; jusqu'à Blood Sweat And Tears et des groupes moins connus de cet underground newyorkais qui allait jeter les bases du punk-rock américain. New York City / New York Sixties. Le jeu de mots est facile, mais la scène rock de ce New York des années 60 méritait bien un livre et c'est chose faite.

Procol Harum

Une ombre blanche

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Par Jérôme Pintoux
24 avril 2020
Prix : 30 €

Extrait :

Dictionnaire Procol Harum : l'auteur a couvert en long et en large la carrière de Procol Harum, ses reformations successives, mais aussi les carrières solos des anciens membres du groupe, Robin Trower, Gary Brooker, Keith Reid, Matthew Fisher. Procol Harum a toujours fait figure de groupe mystérieux. Dès 1967, le nom même de « Procol Harum » semblait surgir de nulle part, ou alors d'une vieille version latine oubliée, sur laquelle on aurait peiné tout un samedi, sans en trouver la solution. Le son de l'orgue était majestueux, mais les textes nous laissaient perplexes : des histoires de naufrages et de losers, parfois impossibles à situer, à contextualiser. Keith Reid, le parolier, c'est une sorte d'Edgar Poe qui se serait égaré dans les années soixante, quelque part du côté de Soho. Procol Harum, ce n'est pas rien. C'est peut-être le groupe qui a inventé le rock prog, ce mélange de rock et d'expérimentations sonores, d'emprunts à la musique classique et de paroles bizarres. « A Whiter Shade of Pale », leur titre de gloire, c'était un slow pour emballer les nanas. Souvent la pop music se limitait à cela. Mais c'est aussi un slow qui nous a fait découvrir la poésie, avec ses « seize vestales vierges » et « son ombre blanche ». C'est l'histoire d'une fille qui fait un malaise - ou une overdose - dans une boîte de nuit. Elle est tellement « blanche » qu'on dirait un fantôme, une « ombre blanche » d'une pâleur mortelle.

L'ère metal

Tome 2

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Par Bruno Piszczorowicz
25 juin 2020
Prix : 40 €

Extrait :

Divisé en deux tomes, L'Ère Metal vous propose un voyage temporel à travers l'Âge d'or de la musique metal (les années 80 pour simplifier), là où sa popularité s'est soudainement envolée pour se poser dans le nid du grand public peu avant de brutalement disparaître… ou presque. L'ensemble vise à proposer l'étude la plus complète possible du hard rock / heavy metal à travers, notamment, sa veine la plus mélodique et populaire (vous aurez reconnu le hair metal). Le premier volume s'attachait à la naissance et au développement du genre avant d'alterner timeline mensuelle de son actualité (de 1981 à 1988), analyse de nombreuses thématiques spécifiques et focus biographique sur ses formations les plus emblématiques. Ce second tome reprend la même trame en relatant l'actualité du metal de 1989 à 1994 tout en s'arrêtant sur de nouvelles thématiques et sur le destin de ses têtes de gondole. Ce deuxième volume rend ainsi compte de l'apogée commerciale et artistique du genre tout autant que de la brutale implosion de sa popularité et des séquelles nées de cette onde de choc. Les dernières années ne sont également pas oubliées avec le traitement de l'évolution du genre jusqu'à aujourd'hui et l'étude de la place qu'occupe désormais la musique metal dans la culture populaire. Ainsi réunis, les deux tomes de L'Ère Metal entendent rendre hommage à un genre souvent mis à bonne distance par les garants autoproclamés de la grande Histoire officielle du Rock. Il s'adresse à ceux qui ont vécu à plein ces belles années musicales comme à ceux, plus jeunes, qui se passionnent pour cette époque dorée et pour qui l'image d'Epinal accolée au hair metal a valeur de fantasme de vie et de paradis sur terre.

Inferno

L'art des ténèbres

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Par Thierry Boucanier
22 avril 2021
Prix : 30 €

Extrait :

L'enfer est une notion commune à la plupart des grandes croyances théologiques ou mythologiques de l'humanité qui a toujours été fascinée par son aspect terrifiant et qu'elle s'est empressée de peupler de monstres, de démons et autres incarnations du Mal. Le Diable, le Seigneur des Enfers, le Prince des Ténèbres, le maître du royaume des morts, ou Pluton, Hadès, Ahriman, Seth, Yama, Hela, Ninazu, Ah Puch, Iblis, Tezcatlipoca, Satan, Lucifer, Belzébuth, Méphistophélès, quel que soit le nom qui lui fut donné, a été représenté sous bien des apparences différentes depuis les débuts de l'Antiquité jusqu'à nos jours. Une multitude d'artistes ont laissé derrière eux, à travers l'Histoire, une très riche source iconographique par le biais d'innombrables et redoutables effigies et illustrations de cette personnification du mal absolu, à travers la sculpture, l'enluminure, la mosaïque, le vitrail, la gravure, la peinture et le dessin. Le septième art et la musique se sont également emparés de ces thématiques infernales et les ont grandement popularisées. Le portrait du Diable est présent de nos jours sur d'innombrables affiches de films fantastiques et pochettes de disques de nombreux groupes de rock. De tous temps pourtant, l'être humain a été terrorisé par le sentiment d'impuissance et d'inconnu devant la mort, et par la vision sombre et maléfique de ces Enfers grouillant de créatures abominables nées de l'imagination des sculpteurs de l'Antiquité et des peintres médiévaux. L'art pictural des enluminures des parchemins ou des frontons des cathédrales entre autres a alors cherché à enseigner une certaine conduite morale à suivre afin d'échapper à l'horreur de l'enfer tout en nous montrant tous les pires tourments de la damnation. Voici l'histoire du Diable et de l'enfer à travers une iconographie sélective. Mais comme nous prévient l'inscription qui accueille les damnés dans l'Inferno de Dante : « Toi qui entres ici, abandonne toute espérance.»

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