L'éditeur qui véhicule le rock !

Billy Joel

L’histoire du Piano Man

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Par Dominique Grandfils
18 mars 2019
Prix : 30 €

Extrait :

Enfant du baby-boom, Billy Joel a débuté sa carrière de musicien au milieu des années 60 après avoir eu une révélation en regardant le passage des Beatles au Ed Sullivan Show. Le pianiste s'est essayé au psychédélisme et même au hard rock avant de s'orienter vers la pop. Le succès ne fut pas immédiatement au rendez-vous et Billy Joel douta de ses capacités au point de tenter de mettre un terme à sa propre vie. Son indéniable talent fut reconnu et le petit musicien de Long Island devint une star internationale qui raconta sa vie à travers ses chansons. Après son divorce, en 1994, Billy Joel décida qu'il ne se livrerait plus à travers ses textes et prit l'incroyable décision d'arrêter de publier de nouvel album pop. Homme de parole, il n'a jamais trahi ce serment, sauf pour deux titres. Il se contente de retrouver son public sur scène et de puiser dans son immense répertoire. Depuis janvier 2014, il se produit, une fois par mois, au Madison Square Garden de New York devant ses fans venus des quatre coins de la planète. Ces concerts mensuels affichent complets dès la mise en vente des billets et permettent à l'artiste de poursuivre cette franchise exceptionnelle signée avec le music-hall new-yorkais. Dans cet ouvrage, vous retrouverez le parcours musical d'un musicien hors norme avec ses moments de gloire et des périodes plus sombres. Vous croiserez également quelques amis de Billy Joel : Paul McCartney, Elton John, Bruce Springsteen, Ray Charles, Paul Simon et bien d'autres.

Suicide

Dream baby dream

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Par Kris Needs
6 octobre 2016
Prix : 34 €

Extrait :

Dream Baby Dream raconte l'histoire de Suicide, le dernier grand groupe punk dont le line-up est resté intact depuis les années soixante-dix et la première vague punk. Alan Vega et Martin Rev ont brisé les tabous avec leur nom de groupe et leur attitude. En pulsant leur indéfinissable mélasse de blues électronique new-yorkais, ils n'ont jamais cessé de défier le public, partout dans le monde. Ils créèrent un son nouveau et chaotique en réaction à l'ambiance à la fois bariolée, incontrôlable et dangereuse des rues new-yorkaises des années soixante-dix. Puis ils réagirent à l'horreur du 9/11 avec l'album American Supreme. Entre ces deux époques, ils furent copieusement ignorés et même carrément oubliés. Comme bon nombre de visionnaires, Alan et Marty étaient largement en avance sur leur époque, inventant des genres qui n'existaient pas encore. L'auteur Kris Needs propose dans son ouvrage une étude détaillée des parcours de jeunesse d'Alan Vega, activiste artistique, et de Martin Rev, musicien de jazz en quête perpétuelle de nouveauté, qui se rencontrèrent en 1970. L'auteur décrit aussi les premiers shows du duo, qu'ils qualifiaient eux-mêmes de « Punk music » sur leurs affiches. Il raconte comment leur notoriété s'est accrue alors qu'ils faisaient fuir le public du Mercer Arts Center, puis du Max's Kansas City, où ils purent entamer leur « carrière » discographique. L'auteur évoque aussi la tournée européenne de 1978 en première partie des Clash et d'Elvis Costello, marquée par des incidents violents. Non seulement ils provoquèrent des réactions d'hostilité extrêmes, mais ils déclenchèrent la révolution électronique du début des années quatre-vingt. Suicide est aujourd'hui considéré comme un groupe pionnier de l'underground new-yorkais. L'ouvrage propose des interviews d'Alan et de Martin, ainsi que de Peter Crowley, Marty Thau, Craig Leon, Liz Lamere et Howard Thompson. Avec une préface de Lydia Lunch.

Courtney Love

De l’enfer punk à la rédemption glam

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Par Violaine Schütz
23 mai 2017
Prix : 30 €

Extrait :

Ce n'est pas une femme, c'est une force de la nature. C'est-elle même qui le dit. Courtney Love a vécu mille vies. Fille d'un père dealer auprès du groupe Grateful Dead, elle prend du LSD à l'âge de quatre ans, dans les sixties. Ado turbulente, elle fréquente les maisons de correction avant de devenir stripteaseuse. Dans les années 1980, elle fréquente le gratin de la new wave anglaise. Et dans les années 1990, elle devient la femme de Kurt Cobain ainsi que le porte-parole du féminisme avec son groupe, Hole. Hole a, bien avant Beyoncé, véhiculé le message du « girl power », à grands coups de textes féroces et de riffs virils. Depuis, on a connu Courtney Love en fauteuse de trouble, en actrice hollywoodienne et en icône de mode. Controversée et scandaleuse, la rock star à l'image trash dérange autant qu'elle fascine. Démon ? Diva ? Déesse ? Muse ? Veuve noire ? Artiste maudite ? Enfant terrible ? Survivante ? Modèle de résilience hors du commun, cette femme forte et talentueuse a affronté de multiples épreuves pour trouver sa place dans ce monde. Elle est allée jusqu'aux bouts de ses limites (drogues, alcool, agressivité verbale, excès vestimentaires, exhibitionnisme, insultes publiques, démêlé judiciaire), pour en revenir vivante, contrairement à son mari, disparu trop tôt. Cette biographie retrace son parcours électrique, de l'enfer à la rédemption.

Like a Rolling Stone Revisited

Une relecture de Dylan

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Par Jean-Michel Buizard
23 décembre 2021
Prix : 26 €

Extrait :

C'est une donnée incontournable dans l'oeuvre de Bob Dylan : dans sa période la plus faste, entre 1965 et 1966, ses chansons sont devenues - et sont restées depuis lors - profondément énigmatiques, pour le grand public comme d'ailleurs le plus souvent pour les spécialistes. Des interprétations existent, mais aucune pour leur conférer un sens clair et convaincant. Cet ouvrage revient précisément à ces chansons et à leurs énigmes avec, en figure de proue, la plus fameuse d'entre toutes - « Like a Rolling Stone ». Il en produit des réponses inédites, différentes de tout ce qui a été précédemment écrit sur les textes et la musique de Dylan. On y découvre les identités, parfois plurielles, de nombreux personnages dylaniens : Miss Solitude et son diplomate portant sur l'épaule un chat siamois, Baby Blue et son orphelin armé d'un fusil, la Dame des basses plaines avec ses yeux tristes, et bien d'autres. On y comprend mieux, également, les titres donnés aux trois albums successifs de l'époque : ce qu'il fallait ramener à la maison (Bringing It All Back Home), en quoi la Route 61 se trouve revisitée (Highway 61 Revisited) et qui sont ces blondes superposées (Blonde on Blonde).Comprises - entendues - les chansons de Dylan ne perdent rien de leur profondeur et de leur pouvoir. Elles n'en sont que plus belles. À travers leurs différentes strates de signification, c'est en définitive tout un pays qui apparaît. De la figure souveraine du Mississippi, régnant dans son imaginaire comme au coeur de la géographie américaine, à son histoire du blues revue et corrigée, jusqu'au lien de filiation inattendu le ramenant à Mark Twain, enfant du grand fleuve et premier grand écrivain de la nation, Dylan ne cesse de conter l'Amérique.

Parcours hors pistes

Le Rock de l'ombre à la lumière

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Par Jean-Marie VANDERSMISSEN
26 novembre 2010
Prix : 32 €

Extrait :

Grâce au bouillonnement des années soixante, le rock a peu à peu forgé ses lettres de noblesse. De grands noms ont vu le jour ; d'autres - moins prestigieux mais au talent indéniable - furent contraints d'évoluer dans l'ombre des maîtres. Graduellement, les courants ont évolué et les genres se sont mis en place autour des formations-clés. Cet ouvrage convie le lecteur à un cheminement dans le temps où, chronologiquement au fil des concerts, se côtoient les artistes majeurs et ceux que les pages du rock ont quelquefois injustement abandonnés sur le bord de la route. Ainsi assisterons-nous à l'émergence du rock progressif par le biais d'artistes tels que Renaissance, Barclay James Harvest ou, dans un registre plus dur, Uriah Heep, Rush ou Golden Earring. Seront évoqués les débuts fracassants d'AC/DC (au détriment de Black Sabbath…), l'éclosion de Judas Priest, la fratrie UFO - Scorpions, le tragique parcours de Wendy O. Williams des Plasmatics, la maestria de Ritchie Blackmore, le rock théâtral de Meat Loaf ou celui, plus léché, de Dire Straits. Nous lierons connaissance avec Roy Harper, Budgie, retrouverons les chefs de file de la New Wave of British Heavy Metal à travers Saxon, Riot et Ozzy sans oublier les instigateurs que furent Montrose, Rory Gallagher ou, outre-Atlantique, Ted Nugent, Little Feat ou les Doobie Brothers. Le tout sur fond de Led Zeppelin, Deep Purple, Jethro Tull, Dylan, Santana, Bowie et les rencontres imprévues de l'auteur avec certains musiciens.

Frog Prog

Musiques progressives en français

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Par Henri Vaugrand
31 juillet 2023
Prix : 28 €

Extrait :

À la fin des années 60 et durant une partie des années 70, les musiques progressives ont occupé le devant de la scène internationale, notamment grâce à des groupes comme ceux du « Big Six » : Emerson, Lake and Palmer ; Genesis ; Jethro Tull ; King Crimson ; Pink Floyd et Yes. D'expression majoritairement anglophone, cette forme particulière de musique n'en a pas moins vu naître des développements linguistiques singuliers capables de dépasser les frontières musicales, politiques et sociétales. Ainsi, la francophonie a vu fleurir des artistes portant des messages poétiques et idéologiques variés des deux côtés de l'océan Atlantique. Souvent sans se connaître ni se croiser, ces cousins francophones ont développé une exception musicale qui perdure quelques cinquante années plus tard. Ainsi les Ange, Harmonium, Atoll, Maneige, Mona Lisa, Morse Code, Triangle, Pollen et autres ont-ils marqué l'histoire musicale de leurs pays respectifs, et parfois au-delà, tout en enfantant des générations spontanées marquées de leur influence, en France comme au Québec ou ailleurs. C'est cette particularité qui est l'objet du présent ouvrage car les musiques progressives en français ont réussi à marquer leur existence d'oeuvres dont l'intérêt n'a eu d'égal que le manque d'attention voire le rejet formulés par le public et les médias des pays où elles sont nées. Pris dans des rêves particuliers, les artistes francophones, ardents défenseurs de leur langue maternelle, ont également engendré des formes musicales uniques dont il était opportun d'identifier de nombreux aspects. Sans souci d'exhaustivité, l'auteur tente un éclairage inédit sur les passeurs de langue et d'espérance que furent, sont et seront sans doute encore demain ces « bergers d'un septième ciel »

Old Wave, Cold Wave, New Wave, Dark Wave

Déluges sonores et clips des Eighties

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Par Jérôme Pintoux
17 décembre 2014
Prix : 38 €

Extrait :

Cet ouvrage tourne autour de la New Wave et de ses caractéristiques, les clips, la primauté de l'image et du look sur le son. Plus que sur la musique, nous nous sommes penchés sur les textes : que nous racontent tous ces gens-là ? Les paroles des chansons nous éclairent-elles sur l'époque ? La partie consacrée aux sources nous plonge au coeur des années 60 et 70, avec des analyses des grandes figures. A la fin des années 60 et au début des seventies, les mouvements pop-rock, psyché, glamour, les déluges sonores du funk et du hard rock, s'enchaînent, se superposent, puis passent au second plan avec la déferlante punk. Ils reviennent en force au début des années 80, se prolongent dans la New Wave, l'électro-pop, la Dark Wave, les débuts du gothique. Les rapports peuvent sembler lointain entre l'Old Wave et la New Wave, mais peut-on imaginer The Police, XTC, Tears For Fears sans les Beatles ? Adam and the Ants, Depeche Mode sans David Bowie, sans T.Rex ? The Cure et Robert Smith sans Syd Barrett ? Joy Division et Ian Curtis sans les Doors de Jim Morrison ? Siouxsie and the Banshees, Killing Joke, The Mission sans Led Zeppelin, sans Black Sabbath ? La Cold Wave, l'électro-pop, la Dark Wave sont en germe dans les années 60 et 70. Les filiations ne sont pas toujours évidentes : parfois les racines sont profondément enfouies dans le sol. Dans une première partie, consacrée à l'Ancienne Vague, nous avons présenté les grands anciens, la lame de fond, les précurseurs. Puis nous avons analysé les artistes emblématiques de l'after-Punk, de la New Wave, de la Cold Wave, de la Dark Wave. La dernière partie de l'ouvrage traite du revival New Wave, de la Britpop et du revival Pop Rock Psyché. Là, tout était New Order et beauté, luxe, calme et obscurité.

Le Heavy Metal au cinéma

De Spinal Tap à Rob Zombie

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Par Gilles Rolland
17 février 2018
Prix : 32 €

Extrait :

Cinéma et musique ont toujours fait bon ménage. Le rock en particulier a depuis ses premiers rugissements trouvé un écho sur grand écran. Avec le King Presley puis avec les Beatles et beaucoup d'autres grands noms qui, un jour, ont souhaité faire le lien et offrir à leurs univers des évocations filmiques plus ou moins inspirées. Le metal lui, ne fait pas exception et s'est abondement nourri de références cinématographiques. Les headbangers sont souvent de grands cinéphiles et bien sûr, les stars du genre, parmi lesquelles Black Sabbath, Alice Cooper, Rob Zombie ou encore Metallica ont, à un moment ou à un autre, participé à ce dialogue si galvanisant, donnant naissance à des morceaux remplis de références, à des films cultes et à des longs-métrages propulsés par la puissance évocatrice de la musique sur-amplifiée. Que l'on parle de films d'horreur, de drames, de comédies ou de documentaires, le cinéma heavy metal est d'une richesse exemplaire. Voici plusieurs décennies que cette love story incendiaire perdure. Une histoire de laquelle surgissent des classiques et des curiosités. Des longs-métrages mais aussi des bandes originales. Car parfois, si le film n'a rien de metal, la musique, elle,, l'est carrément. C'est de cela dont il est question ici. De This Is Spinal Tap à Wayne's World, en passant par Rob Zombie, Decline Of The Western Civilization Part II : The Metal Years, Lemmy The Movie, Métal Hurlant, Le Fleuve de la mort ou encore Anvil !, ce livre raconte la grande odyssée d'un genre extrême et insouciant qui fédère depuis une quarantaine d'années dans le bruit et la fureur, mais aussi dans le rire, le sang et les larmes.

Punk & Metal

Des liaisons dangereuses

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Par Pierre Avril
6 octobre 2016
Prix : 32 €

Extrait :

Quarante ans que ça dure, quarante ans que les guerriers du Punk et du Metal nous montrent leur détermination à ferrailler avec leur public et même, parfois, entre eux. « Nous étions les premiers Punks » déclare Ozzy Osbourne à propos des débuts de Black Sabbath. Malgré les apparences, les frontières entre les deux genres sont parfois trompeuses et plus fines que ce que l'on croit. Ce livre va vous donner à lire les exploits de Black Sabbath, Motörhead, Discharge, GG Allin, Bathory et de tous ces acteurs qui ont tant contribué à la naissance du Rock « extrême ». Le propos de l'auteur est bien de démontrer que les objectifs communs aux deux genres sont nombreux, et que la révolte, la frustration et la colère y ont trouvé différentes formes d'exutoires. Embarquez donc pour un voyage qui va démarrer dans les années 50 et la naissance du Rock'n'Roll pour vous emmener, par étapes, à découvrir tous les paliers franchis dans l'extrême et la provocation, que ce soit chez les Punks anglais de The Exploited, le malade mental du Grindcore Seth Putnam ou les étonnants artistes qui composent Diapsiquir. Punk, Hardcore, Thrash, Black, Death, Grind, Indus, Heavy ou Speed y trouveront toute leur place, pour aboutir à un questionnement autour de l'impact de ces fous furieux du Rock sur notre monde et l'avenir potentiel de ces mouvances. Embarquez à bord pour faire monter les décibels !

See A Little Light

Un parcours de rage et d'harmonie

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Par Bob Mould et Michel Azerrad
12 février 2013
Prix : 36 €

Extrait :

Bob Mould s'est jeté dans la scène punk rock américaine en 1979, à l'époque où des gamins arborant perfectos et jeans déchirés s'entassaient dans des clubs à travers tout le pays pour voir des groupes comme les Ramones, Black Flag ou les Dead Kennedys. Le punk hardcore était tel un déferlement de rythmes de marteaux-piqueurs, de tempos foudroyants, d'agressivité sans limite. Dans l'oeil du cyclone, Hüsker Dü, un nouveau groupe venu du Minnesota, balance ses morceaux et tourne sans relâche, sans fric, guidé par l'inspiration du guitariste et chanteur Bob Mould. Leur musique a réveillé une génération. Dès le début, Mould a voulu faire d'Hüsker Dü le plus grand groupe du monde, plus rapide et plus fort que le hardcore standard mais avec des mélodies et une profondeur émotionnelle. Dans A Little Light, Mould raconte enfin comment la passion et la colère de la première scène hardcore se sont mêlées à son impressionnant sens de la mélodie et à sa volonté irrépressible pour produire une des plus importantes et influentes musiques de la fin du vingtième siècle. Pour la première fois, Mould se confie pour décrire cette vie à l'intérieur de la fournaise et au-delà. En dévoilant sa difficulté à assumer son homosexualité et la complexité de ses relations intimes, ainsi que ses addictions à la drogue et à l'alcool, il nous entraîne sur un chemin semé de chaos au bout duquel il parviendra à se désintoxiquer et à mener une brillante carrière solo. Au fil de son parcours, il créera le groupe Sugar, fera un détour surprenant par le milieu du catch professionnel, et trouvera enfin sa place dans le monde. Classique histoire de persévérance et d'individualisme, l'autobiographie de Bob Mould retrace avec sincérité le destin de l'une des figures les plus adulées du punk, dont le rôle moteur a changé la face de la musique américaine. Bob Mould est un chanteur, compositeur, producteur et DJ américain. Membre originel du très influent groupe punk des années 80 Hüsker Dü, il a sorti plusieurs albums après sa dissolution, dont Workbook, Body of Song et Life and Times, ainsi que le légendaire album Copper Blue, avec Sugar. Il vit à San Francisco. Michael Azerrad est l'auteur des livres Our Band Could Be Your Life : Scenes from the American Indie Underground, 1981-1991 et Come As You Are : The Story of Nirvana. Ses chroniques musicales ont été publiées dans de nombreux magazines, dont Rolling Stone, The New Yorker, Spin, et le New York Times. Il vit à New York.

Bootleg

Les flibustiers du disque

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Par Alain Gaschet
16 mars 2015
Prix : 32 €

Extrait :

Ce livre vaut combien ? Un an (avec sursis) ! Il vous dévoile l'histoire des disques « pirates » largement racontée par ceux qui les ont créés. Il vous offre un voyage dans une discothèque interdite, sans cesse pourchassée par les chiens de garde des majors, sans cesse renaissant de ses cendres, avec ses labels loufoques, ses brouillons inaudibles mais aussi ses perles rares, ses oeuvres d'art, ses ratages et ses heures de gloire ! « Une plongée dans la face B du business musical, celle des chutes de studio volées, des inédits tombés d'un camion et des concerts de légende captés à l'arrachée, des white labels californiens aux triple vinyles hollandais, des presses à CD d'Europe de l'Est aux Blu-ray nippons. » (Tsugi Mag) « Mais, derrière l'histoire du disque pirate qui inclut celle des bootleggers, des labels, logos et autres slogans, c'est aussi une autre histoire du rock'n'roll (sorte de dark side) que relate ici Alain Gaschet, celle de véritables fouineurs prêts à tout pour partager leur passion de la musique. Il montre également très bien comment cette industrie parallèle à celle des majors, très créative, ludique mais également lucrative, doit sans cesse se déplacer, disparaître pour mieux renaître ailleurs afin de déjouer tous les pièges et éviter la prison. Ce que montre aussi l'auteur c'est qu'en véritable phénix, le bootlegger, après la course effrénée aux vinyles, CD et DVD commencée à la fin des années 60 dans les foires et chez les disquaires, a aujourd'hui trouvé sa place dans tous les foyers ainsi que sur la Toile. » (blog ePagine). Cette édition augmentée « REMIX 2015 » a été enrichie d'anecdotes, de nombreuses photos, d'un chapitre supplémentaire (quel bootleg n'a pas de « bonus track ? ») et d'une documentation qui ravira sans doute les amateurs de raretés ! En achetant ce livre, vous devenez complices. Bienvenue au club. Et puis, après tout, qu'est-ce qu'un an ? Comme le disaient si bien nos amis de Swingin'Pig : If it ain't no dangerous, it ain't no rock'n'roll

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