L'éditeur qui véhicule le rock !

Mouvance punk 1976 - 1978

100 des meilleurs albums

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Par Eric Smets
18 septembre 2014
Prix : 34 €

Extrait :

Cela pourrait presque prêter à rire mais le Punk en tant que mouvement artistique a laissé des traces inaltérables dans tous les domaines de la société. À l'heure où les footballeurs du mondial et les gamins dans les rues s'en sont approprié la coupe de cheveux et où les filles à papa s'affichent avec des vêtements déchirés de marque, il ne nous reste guère plus que les épingles à nourrice pour accrocher nos souvenirs. Au niveau musical, il y a clairement un avant et un après-Punk. Réfléchissez-y bien : quels sont parmi les groupes des 70's, ceux qui ont encore réussi à sortir un album culte après le coup de balai donné par les Sex Pistols ? Avec le Punk, la seule chose qui importait, c'était de revenir à ce qui faisait l'essence même du Rock : l'urgence, l'énergie et une certaine dose d'irrévérence que les dinosaures qui paissaient dans les vastes plaines des charts avaient depuis longtemps perdue en chemin ! Quant au nihilisme propre à la révolution punk, il va malheureusement donner naissance à une société où l'individualisme est glorifié. En découlera une profonde crise de société à travers le monde entier dont le moins que l'on puisse dire est que l'on n'en voit pas l'issue. No Future… Tiens, No Future, ça ne vous dit rien ? Voici l'histoire de cette formidable explosion punk et de groupes tels les Ramones, Television, les Hearbreakers, Richard Hell & The Voidoids en Amérique, les Damned, Clash, les Stranglers, les Sex Pistols en Angleterre, les Saints, Radio Birdman en Australie, les Stinky Toys, Starshooter en France, les Kids, Hubble Bubble en Belgique ; de noms connus plus surprenants tels que Patti Smith, Blondie, Ultravox !, Talking Heads, Elvis Costello, Wire, Devo, Police, Siouxsie & The Banshees, Pere Ubu ou Motörhead ; mais aussi de groupes moins célèbres tels que Eater, Johnny Moped, les Lurkers ou Alternative TV qui vont balayer en quelques mois toutes les certitudes sclérosées du monde de la musique. Même si le mouvement punk et son sentiment d'urgence se conjuguaient surtout en singles, c'est à travers ses albums que nous allons nous replonger dans ces photos d'époque et tenter de faire revivre ces instantanés. Voici une sélection d'une centaine des meilleurs disques assimilés au mouvement punk. Ces disques sont sortis entre 1976 et fin 1978. 77 d'entre eux peuvent être considérés comme réellement essentiels. Pour le fun, puisque c'était alors tout ce qui importait…

Le Metal dans les pays musulmans

Cette jeunesse qui a contribué au Printemps arabe

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Par Mark LeVine
16 janvier 2014
Prix : 34 €

Extrait :

Le metal, c'était vraiment le son qui correspondait parfaitement à l'agressivité qu'on ressentait en vivant dans une dictature. Et c'est ce qui nous a permis de faire sortir sainement notre colère (Sajid, Pakistan). Le metal est dans notre sang. C'est pas un divertissement, c'est notre souffrance, et aussi un antidote à l'hypocrisie de la religion qui est injectée en chacun de nous dès notre naissance (Tarantist, Iran). Quand on est palestinien, pakistanais ou même marocain et qu'on a le malheur d'être fan de metal, on comprend très vite que ce n'est pas que de la musique. Non. On comprend qu'on doit engager toute sa vie. Et c'est ce qui renforce paradoxalement le degré d'attachement. Ceux qui auront été emprisonnés pour cela en témoignent dans cette enquête du professeur à l'Université de Californie et docteur en études islamiques, Mark LeVine. Il a réalisé vingt voyages et parcouru seize pays pour en rapporter ce livre fondamental. En tant que guitariste semi-pro, il a pu aussi partager la scène et enregistrer avec les musiciens qu'il interviewait (Orphaned Land, Khalas, Junoon, les filles de Mystik Moods…). Il a rencontré aussi des activistes et des islamistes. Il revient en détail sur les affaires amalgamant metal et satanisme en 1997 en Egypte et au Liban, et en 2003 au Maroc qui virent plusieurs métalleux condamnés et torturés sur de fausses accusations. Plus je voyageais, plus je rencontrais de musiciens et plus je saisissais à quel point on pouvait améliorer notre compréhension de l'Islam en apprenant à connaître ces artistes censés être marginaux. Je connais tous vos artistes et vos icônes : Hendrix, Coltrane, Scott Fitzgerald. Je connais aussi ma culture : Oum Kalthoum, Farid al-Atrache et Adonis. Mais combien d'Américains [ou d'Occidentaux] voudraient ne serait-ce que connaître ma culture, sans parler d'y consacrer du temps ? (Oday Rasheed). Ce livre est justement une façon d'y remédier.

Bob Marley And The Wailers

1973-1976

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Par Lee Jaffe et Jérémie Kroubo Dagnini
17 juin 2013
Prix : 30 €

Extrait :

Lee Jaffe, ou le "Wailers blanc" comme il fut régulièrement surnommé, nous propose une plongée au coeur des années cruciales des Wailers, 1973-1976, époque au demeurant charnière pour la Jamaïque durant laquelle la violence politique atteignit son paroxysme sur fond de reggae roots. Par le biais d'un entretien franc, sans détours et sans langue de bois avec le spécialiste du reggae, Jérémie Kroubo-Dagnini, l'ancien harmoniciste des Wailers apporte de précieux détails sur des sujets aussi variés que la vie du groupe à Hope Road et Trench Town, les liens étroits entre Bob Marley et la mafia locale, les dessous des premiers albums et des premières tournées nord-américaines du groupe, son rôle dans la conception de certaines des chansons les plus emblématiques des Wailers ou encore le financement pour le moins occulte du mythique album de Peter Tosh, Legalize It. Cette liste n'est évidemment pas exhaustive. L'ensemble est ponctué de très nombreuses et magnifiques photographies noir et blanc prises par l'auteur sur le vif, au coeur de l'atmosphère enfumée, créatrice et bouillonnante de la Jamaïque du début des années 1970. "J'avais presque toujours mon appareil photo avec moi, mais j'étais discret. Je pouvais sentir quand ce n'était pas le moment de prendre des photos en fonction de la lumière ou de l'atmosphère. Je faisais attention à ce que l'appareil ne soit pas envahissant. J'étais conscient de chroniquer une épopée culturelle extrêmement importante."

The Hellacopters

Du kérosène dans les veines

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Par Rudy Charis
17 mars 2016
Prix : 32 €

Extrait :

Monté en 1994 comme un projet parallèle par Nick Andersson avec ses trois roadies sur les tournées d'Entombed, The Hellacopters furent pendant 14 ans les fers de lance d'un rock à forte intensité, le High Energy Rock'n'Roll, induisant un engouement pour ce style suivi par la renaissance, au début du millénaire, de modèles du genre tels le MC5, The Stooges ou Radio Birdman. De leurs débuts garage tonitruants récompensés d'un Grammy Award inattendu jusqu'à leur dernier album composé de reprises de groupes de la même trempe, les hélicoptères de l'enfer ont symbolisé cette haute-fidélité envers la musique (envers la leur et celle des autres donc) chère aux amateurs de vinyles, sans jamais se renier pour une valise de billets. Qui d'autre que Nick Andersson, qui par ailleurs créera avec The Solution l'un des premiers groupe de white soul deux ans avant le succès de Amy Winehouse & co., peut se targuer d'être un musicien précurseur et respecté de ses pairs dans des styles aussi différents que le Death Metal (Entombed) le Rock au sens large (The Hellacopters) ou la Soul (The Solution) ? De leurs premiers pas dans la musique jusqu'à leurs derniers projets en 2015, cet ouvrage retrace le parcours des membres du groupe, avec leur participation directe ainsi que celles de nombreux autres artistes ayant été survolés par les Suédois, qui ont mené leur carrière comme personne d'autre - Like no other men.

Le Reggae en Angleterre

1967 - 1997

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Par Eric Doumerc
6 octobre 2016
Prix : 30 €

Extrait :

Pendant les années 1950, de nombreux immigrés jamaïquains s'installèrent en Angleterre afin d'améliorer leurs conditions de vie et de travail, et aussi afin de donner un meilleur avenir à leurs enfants. Cette « génération Windrush » devait transformer durablement la structure démographique du pays, mais aussi sa culture populaire et musicale lorsque, avec l'arrivée des années 1960, le ska, puis le rock steady et le reggae, imprimèrent leur marque sur les goûts musicaux des jeunes Britanniques. Entre la fin des années 1960 et la fin des années 1990, les musiques populaires jamaïquaines (ska, rock steady, reggae, style DJ, et dub) influencèrent considérablement différents courants musicaux comme le reggae roots britannique, la musique punk, et le mouvement Two Tone par exemple. Ces influences témoignent de différentes réactions des jeunes britanniques face à la culture jamaïquaine et aussi des différentes tensions sociales et raciales qui caractérisent la période étudiée. Depuis les Clash qui reprirent « Police and Thieves » de Junior Murvin jusqu'aux Specials qui offrirent leur propre interprétation de « A Message to You, Rudie » de Dandy Livingstone en passant par le fulgurant succès de Musical Youth avec « Pass the Kutchie », ce fut tout un pays qui se mit à découvrir le ska et le reggae. Cette découverte eut pour conséquence avec l'arrivée des années 1980 et 1990 l'apparition de nouvelles formes musicales comme le trip-hop, le jungle, et les fusions diverses. L'Angleterre fut donc le premier relais de la musique jamaïquaine en Europe, et devait servir plus tard de caisse de résonance pour sa diffusion dans d'autres pays. Eric Doumerc enseigne l'anglais à l'Université Toulouse-Jean Jaurès. Ses domaines de spécialité sont la tradition orale aux Caraïbes anglophones, et plus particulièrement sa relation avec la poésie et les traditions musicales de cette région.

Under the big black sun

Punk in Los Angeles

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Par John Doe et Tom DeSavia
23 mai 2017
Prix : 34 €

Extrait :

Under The Big Black Sun est un compte rendu intimiste de la scène punk de Los Angeles, racontée par les protagonistes, peaufinée par John Doe de X et accompagnée de photos rares - l'exploration inédite du jeune mouvement punk de Los Angeles et de son évolution vers le hardcore. Les auteurs, John Doe et Tom DeSavia, tissent une narration fascinante de la légendaire scène de la côte ouest entre 1977 et 1982 en donnant voix au chapitre à ses acteurs majeurs. Ce livre égrène vingt-sept récits, de la bouche même des fameux - voire infâmes - protagonistes de la scène, dont Exene Cervenka (X), Henry Rollins (Black Flag), Mike Watt (the Minutemen), Jack Grisham (TSOL), Teresa Covarrubias (the Brat), ainsi que des têtes pensantes et journalistes Pleasant Gehman, Kristine McKenna et Chris Morris. John Doe nous invite au pays ensoleillé des films noirs, à travers les ruelles d'Hollywood et l'expansion urbaine, où il rencontra ses homologues artistiques Exene, DJ Bonebreak et Billy Zoom pour former X, le groupe qui deviendrait synonyme du punk de L.A. Se concentrant sur les années de développement du punk, Under The Big Black Sun relate des histoires d'amour et d'amitié, d'ambitions et de querelles, de rêves grandioses et de colères culturelles, se combinant avec le lustre brillant et dépenaillé d'une étrange culture populaire illustrant parfaitement la face cachée d'Hollywood. Le lecteur plongera dans les clubs qui définirent le mouvement, au fond d'impasses ou sur des parkings vides, dans les immeubles et les squats où trônaient les musiciens, les artistes et les seconds couteaux façonnant ce qui deviendrait le punk de Los Angeles, né de la country, du rock'n'roll, du blues et de la musique latino - incontestablement l'étape suivante dans l'histoire du rock -, de l'art et de la culture, ainsi que de la frustration politique et économique. Un punk à l'image même de Los Angeles. Pour la première fois, les histoires et les photos de cette époque mythique sont présentées par ceux qui se trouvaient en première ligne. Des récits dont la plupart d'entre nous n'ont jamais entendu parler, nés sous le grand soleil noir.

New York Rock

De l'ascension du Velvet Underground à la chute du CBGB

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Par Steven Blush
30 décembre 2018
Prix : 38 €

Extrait :

« Ce n'est pas une scène pour puritains : elle se nourrit de drogue et de sexe... C'est le creuset même de l'expression : tous ceux impliqués dans l'art ou dans la musique tirent bénéfice de l'incertitude qui règne ici. » - Moby NEW YORK. Pendant cinquante ans, cette ville a représenté un test ultime et une scène pour la forme suprême d'art populaire de notre époque. ROCK. Glitter, punk / new wave, post-punk / no wave, hardcore new-yorkais, noise rock d'East Village, proto-rock alternatif / revival garage goth / indus, rock indépendant, ces pages sont remplies de tous les mouvements et contre-mouvements qui pourront vous venir à l'esprit. NEW YORK. La ville inspire une musique géniale, elle est le lieu de naissance et le terrain d'essai d'un kaléidoscopes de sous-cultures, et elle apporte la meilleure expérience possible aux vrais fans de rock'n'roll. ROCK. Plus de 600 pages d'anecdotes et de regards divers portés par les artistes qui ont fait la musique et ceux qui l'ont propagée : Lou Reed, Hilly Kristal, Joey Ramone, David Johansen, Kembra Pfahler, Paul Morrissey, Adam Horovitz, John Cale, Iggy Pop, Richard Hell, Bob Gruen et tant d'autres. NEW YORK ROCK. Depuis les stars qui ont changé le visage de la musique jusqu'aux fiascos qui ont ouvert la voie pour une prochaine vague d'innovations, tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la capitale de la musique.

Rammstein

Paroles de fans

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Par Gilles Rolland
22 mai 2018
Prix : 34 €

Extrait :

Rammstein. Un nom qui résonne avec force et qui va de pair avec de spectaculaires gerbes de flammes. L'outrance, le scandale, le déraisonnable, la fureur, le métal en fusion et les grosses guitares. Les étincelles qui jaillissent sur les muscles saillants d'un chanteur dont l'exubérance s'exprime de bien des façons. En 2018, le rock n'a rien d'aussi subversif qu'avant. Aujourd'hui, on s'offusque et on préfère caresser dans le sens du poil. Faire semblant et courber l'échine devant la bienséance. Sauf Rammstein. Les six musiciens qui composent le mastodonte teuton n'ont rien de politiquement correct. Ils ne font pas semblant. Quand ils jouent, sur scène, ils jouent fort. Très fort. Ils savent soigner leurs mises en scène, ruent dans les brancards, convoquent une imagerie scandaleuse, quitte à se faire taxer de ce qu'ils ne sont pas. Le sexe et la violence sont au centre de leurs performances et de leur musique, mais ne la définissent pas pour autant. Car plus que tout, Rammstein est imprévisible. Sa poésie est brutale et sans concession. Son humour ne prend pas de détour. Depuis 1994 et la naissance du groupe, des millions de fans, en Europe tout d'abord puis dans le monde entier, ont succombé aux riffs de Rammstein. Emmenés par la voix gutturale de Till Lindeman, ces mêmes fans ont suivi le vaisseau amiral au fil de ses nombreux morceaux de bravoure, remplissant les gradins et faisant enfler les ventes de disques à une époque où ceux-ci ont justement du mal à se vendre. À lui tout seul, Rammstein a réussi à fédérer plusieurs publics. À ce jour, aucun groupe allemand, chantant en allemand, n'est parvenu à avoir autant de succès. C'est notamment ce qu'illustre ce livre. Un livre constitué de témoignages de fans. À l'instar de Rammstein, ils se confient sans concession, soulignent le rôle du groupe dans leur existence, abordent la question de l'évolution de la musique et des textes, se souviennent des grands moments en live... Paroles de fans donne une tribune à celles et ceux qui ont fait de Rammstein l'un des derniers véritables phénomènes mondiaux du metal. « Nun liebe Kinder gebt fein Acht »...

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