L'éditeur qui véhicule le rock !

Dave Mustaine

Splendeur et misère d'une icône thrash

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Par Dave Mustaine & Joe Layden
14 février 2011
Prix : 36 €

Extrait :

Dave Mustaine est le premier à reconnaître que sa vie a été compliquée, et qu'il a connu tous les déboires possibles : une enfance détruite, des parents alcooliques, une éducation religieuse aliénante, une dépendance à toutes les substances imaginables, des revers professionnels violents… Après avoir été viré sans cérémonie de Metallica, il a créé Megadeth dont il est le chanteur-guitariste-compositeur-PDG, et s'est battu sans relâche contre ses démons pour mener à bien sa mission. Il livre ici une confession sans concessions. Considéré comme le père fondateur du thrash metal, il a créé quasiment tout seul ce style qui a fait la gloire de Megadeth et de Metallica. Avec plus de douze albums à son actif - de Killing is my Business… and Business is Good en 1985 au récent Endgame - Mustaine a composé des morceaux qu'on a qualifiés tout à la fois de poignants, introspectifs, ironiques et énervés. Megadeth a été nommé huit fois aux Grammy et a gagné six disques de platine. Mustaine vit à San Diego, en Californie. Joe Layden est un journaliste reconnu et auteur de best-sellers. Il a écrit plus de trente ouvrages, dont The Great Last Fight, que Sports Illustrated et l'American Library Association ont salué comme l'un de meilleurs livres sportifs de 2007. Il a également co-écrit There And Back Again et The Rock Says…, deux best-sellers du New York Times.

Courtney Love

De l’enfer punk à la rédemption glam

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Par Violaine Schütz
23 mai 2017
Prix : 30 €

Extrait :

Ce n'est pas une femme, c'est une force de la nature. C'est-elle même qui le dit. Courtney Love a vécu mille vies. Fille d'un père dealer auprès du groupe Grateful Dead, elle prend du LSD à l'âge de quatre ans, dans les sixties. Ado turbulente, elle fréquente les maisons de correction avant de devenir stripteaseuse. Dans les années 1980, elle fréquente le gratin de la new wave anglaise. Et dans les années 1990, elle devient la femme de Kurt Cobain ainsi que le porte-parole du féminisme avec son groupe, Hole. Hole a, bien avant Beyoncé, véhiculé le message du « girl power », à grands coups de textes féroces et de riffs virils. Depuis, on a connu Courtney Love en fauteuse de trouble, en actrice hollywoodienne et en icône de mode. Controversée et scandaleuse, la rock star à l'image trash dérange autant qu'elle fascine. Démon ? Diva ? Déesse ? Muse ? Veuve noire ? Artiste maudite ? Enfant terrible ? Survivante ? Modèle de résilience hors du commun, cette femme forte et talentueuse a affronté de multiples épreuves pour trouver sa place dans ce monde. Elle est allée jusqu'aux bouts de ses limites (drogues, alcool, agressivité verbale, excès vestimentaires, exhibitionnisme, insultes publiques, démêlé judiciaire), pour en revenir vivante, contrairement à son mari, disparu trop tôt. Cette biographie retrace son parcours électrique, de l'enfer à la rédemption.

Inferno

L'art des ténèbres

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Par Thierry Boucanier
22 avril 2021
Prix : 30 €

Extrait :

L'enfer est une notion commune à la plupart des grandes croyances théologiques ou mythologiques de l'humanité qui a toujours été fascinée par son aspect terrifiant et qu'elle s'est empressée de peupler de monstres, de démons et autres incarnations du Mal. Le Diable, le Seigneur des Enfers, le Prince des Ténèbres, le maître du royaume des morts, ou Pluton, Hadès, Ahriman, Seth, Yama, Hela, Ninazu, Ah Puch, Iblis, Tezcatlipoca, Satan, Lucifer, Belzébuth, Méphistophélès, quel que soit le nom qui lui fut donné, a été représenté sous bien des apparences différentes depuis les débuts de l'Antiquité jusqu'à nos jours. Une multitude d'artistes ont laissé derrière eux, à travers l'Histoire, une très riche source iconographique par le biais d'innombrables et redoutables effigies et illustrations de cette personnification du mal absolu, à travers la sculpture, l'enluminure, la mosaïque, le vitrail, la gravure, la peinture et le dessin. Le septième art et la musique se sont également emparés de ces thématiques infernales et les ont grandement popularisées. Le portrait du Diable est présent de nos jours sur d'innombrables affiches de films fantastiques et pochettes de disques de nombreux groupes de rock. De tous temps pourtant, l'être humain a été terrorisé par le sentiment d'impuissance et d'inconnu devant la mort, et par la vision sombre et maléfique de ces Enfers grouillant de créatures abominables nées de l'imagination des sculpteurs de l'Antiquité et des peintres médiévaux. L'art pictural des enluminures des parchemins ou des frontons des cathédrales entre autres a alors cherché à enseigner une certaine conduite morale à suivre afin d'échapper à l'horreur de l'enfer tout en nous montrant tous les pires tourments de la damnation. Voici l'histoire du Diable et de l'enfer à travers une iconographie sélective. Mais comme nous prévient l'inscription qui accueille les damnés dans l'Inferno de Dante : « Toi qui entres ici, abandonne toute espérance.»

Daft Punk

Humains après tout

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Par Violaine Schütz
18 juin 2014
Prix : 28 €

Extrait :

Violaine Schütz retrace l'aventure d'un des plus grands groupes de danse de tous les temps : Daft Punk. Inventant une musique universelle (le son du nouveau millénaire ?) capable de traverser les frontières, le duo a fait connaître la musique électronique française dans le monde entier et brisé les tabous dont la techno, marginalisée, faisait l'objet. Pour la première fois, un groupe issu des raves réconciliait tout le monde, petits et grands, rockeurs et clubbers, Français et étrangers, tous ensemble sous la boule à facettes. L'histoire a débuté il y a presque vingt ans et aujourd'hui le groupe est devenu un phénomène, malgré un parcours mouvementé qui correspond à celui de l'avènement de la techno en France, à travers ce mouvement culte appelé french touch qui a fait de ce pays l'un des fleurons musicaux du monde entier. C'est aussi le récit humain de la communion de deux jeunes garçons passionnés de pop et de cinéma - Thomas Bangalter et Guy-Manuel de Homem-Christo - devenus messies d'une génération, deux être de chair devenus robots avant de retourner à leurs premières amours, plus viscérales. L'ouverture d'esprit dont ils ont fait preuve annonçait l'abolition des chapelles musicales entre rock et dance dont se revendique aujourd'hui beaucoup de pop stars. À l'heure d'une nouvelle french touch, de Gesaffelstein à Kavinsky en passant par Justice, ne serions-nous pas un peu tous les enfants des Daft ? Violaine Schütz est journaliste et DJ selector. Elle fréquente de très près le milieu du clubbing, de la nuit, et la musique électronique depuis plus de dix ans. Ses articles ont été publiés dans Trax, Tsugi, Wad, Rolling Stones, Be, Elle, Le Bonbon Nuit, Dazed And Confused ou encore Trois Couleurs.

Paulette Pub Rock

343 Rue Régina Kricq

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Par Syned Tonetta
22 août 2019
Prix : 36 €

Extrait :

Peu d'ouvrages ont été consacrés à des salles de spectacles. Le Paulette Pub Rock est une exception dans le paysage musical en France. Syned Tonetta s'est employé à explorer ce lieu qui n'aurait pas perduré sans un couple à la destinée singulière. Paulette, aujourd'hui presque centenaire, et Yves, son mari, ont fait d'un café-épicerie-dancing un temple du rock... à la campagne, dans un village, Pagney-derrière-Barine. Est-ce dû tout simplement à cet amarrage loin des circuits habituels, ou alors à ce public hétérogène dont CharElie a remarqué les « mains calleuses » lors d'une séance de dédicace « plus longue qu'ailleurs » ? L'auteur remonte un siècle en arrière pour comprendre ce lieu à la trajectoire pérenne, ouvert autant sur le passé que sur le présent du rock, qui voit passer des milliers d'artistes et non des moindres : de Vince Taylor à Ange, de Dr Feelgood aux Dogs, du Gun Club à Canned Heat, de Calvin Russell à Blaze Bayley, de Louis Bertignac à No One Is Innocent et tant d'autres. Il doit y avoir une raison ou des raisons pour qu'un nom, une adresse fassent rêver tous les musiciens, des débutants aux plus illustres, tous les fans de blues, rhythm'n'blues, rock'n'roll, punk, metal, stoner et même de prog music. L'auteur, qui a connu un temps ce repaire de rockers de l'intérieur, retrace l'histoire à travers une famille, celle des Bortolotti-Marchal, à l'aide de nombreux témoignages de proches, de clients, d'artistes et de professionnels du show-biz. Un essai sur un carrefour de rencontres et de styles, un phénomène sociétal unique dans les annales du rock.

Our Band Could Be Your Life

Scènes de l'underground indépendant américain

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Par Michael Azerrad
30 novembre 2018
Prix : 38 €

Extrait :

Our Band Could Be Your Life, c'est l'histoire encore inédite de la révolution musicale qui se produisit juste sous le nez des années 80 reaganiennes - quand un petit réseau très actif de groupes, labels, fanzines, stations de radio et autres éléments subversifs stimulèrent de nouveau le credo punk do it yourself et créèrent une musique profondément personnelle, souvent brillante, toujours provocatrice et d'une grande influence. Cette vaste chronique concernant la musique, la politique, la drogue, la peur, la haine et la foi est d'ores et déjà reconnue outre-Atlantique comme un classique du rock indépendant. Vous allez en apprendre de belles sur : Mission of Burma, Minutemen, Black Flag, Hüsker Dü, Minor Threat, The Replacements, Butthole Surfers, Sonic Youth, Big Black, Fugazi, Mudhoney, Beat Happening, Dinosaur Jr. « Franchement fabuleux… Azerrad frappe un grand coup grâce à ses entretiens avec les principaux acteurs du mouvement… Un sacré recueil sur le dernier temps fort de l'histoire de la musique. » Patrick Beach, Austin American-Statesman « Azerrad nous rappelle l'époque où Nirvana et compagnie étaient en première ligne de l'armée alternative… Our Band Could Be Your Life est la chronique de cette période, des posters faits maison aux vans de tournée, ou sur la manière dont ces groupes ont peu à peu rameuté un public suffisamment important pour que les labels et les critiques les remarquent enfin. » Benjamin Nugent, Time.com « Durant la décennie que couvre Azerrad, l'Amérique indépendante a prouvé qu'un rock de classe internationale pouvait voir le jour en dehors des structures de la corporation… Our Band Could Be Your Life ressuscite avec passion treize groupes indépendants… Azerrad est un adepte de récits de guerre des meilleurs musiciens - et le mouvement underground en regorge. » Eric Weisbard, New York Times Book Review

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