L'éditeur qui véhicule le rock !

Ministry

The lost gospels according to Al Jourgensen

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Par Al Jourgensen
28 septembre 2017
Prix : 36 €

Extrait :

« Peu de musiciens se sont permis une vie aussi sex, drugs & rock'n'roll avec une telle envie de défier la mort - et sur une aussi longue période - que Al Jourgensen, le leader de toujours de Ministry. Partout dans le monde, on peut désormais lire sa légende… Une lecture en montagnes russes. En plus de passer derrière le rideau de la création de classiques de metal indus comme The Mind Is A Terrible Thing To Taste et Psalm 69, Jourgensen se permet des potins sur des noms connus dont il a croisé la trajectoire au cours de sa carrière. » - Rollingstone.com Ministry : The Lost Gospels, les mémoires explosifs où tous les coups sont permis, de Al Jourgensen parrain légendaire de l'indus et fondateur de Ministry, est à la fois répugnant et captivant, révélant un personnage sans compromis et dont la vie n'a pas toujours été des plus simples. Jourgensen, l'un des artistes les plus inventifs et les plus prolifiques à s'être jamais emparé d'une guitare, d'une mandoline, d'un harmonica ou d'un banjo, ne voulait qu'être musicien ; il est devenu rock star. Et la gloire et la fortune ont bien failli le tuer. Toxicomane depuis l'âge de quinze ans, Jourgensen s'est vautré durant vingt-deux ans dans l'héroïne, la cocaïne, la méthadone et l'alcool avant de devenir clean, de se racheter une conduite et de trouver de nouvelles raisons de vivre. Avec humour, chaleur et décadence, parsemé de drames, The Lost Gospels se veut le récit épique d'un renégat iconoclaste. « Concernant le sexe, la drogue et le rock'n'roll, on n'en a jamais assez - c'est du moins ce qu'on lit. Mener une telle existence, et si longtemps, tient de l'exploit, de ceux qui valent bien des mémoires, Ministry… » - USA Today Al Jourgensen est un producteur, compositeur et musicien nominé six fois aux Grammy Awards. L'artiste ne compte plus les disques de platine et sa discographie couvre trente années. Après son retour dans le droit chemin en 2002, il produit encore cinq albums avec Ministry et lance son propre label, 13th Planet. Il vit à El Paso au Texas. Jon Wiederhorn est coauteur de l'ouvrage Louder Than Hell: The Definitive Oral History Of Metal, journaliste notoire à Revolver et chroniqueur à Guitar World, Yahoo.com, eMusic.com et Noisey.com. Il vit à Brooklyn, à New York, avec sa famille.

Muse

Paroles de fans

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Par Aurélie Massé
28 septembre 2017
Prix : 34 €

Extrait :

Bellamy, Howard, Wolstenholme. Trois noms qui ont déjà marqué l'Histoire de la Musique. Car Muse est sans aucun doute l'un des rares groupes à avoir bouleversé le rock ces deux dernières décennies. Muse, ce sont trois génies qui élèvent leurs instruments au-delà même des limites humaines. Muse, c'est surtout 21,5 millions d'albums vendus dans le monde et plus de 1 400 concerts donnés depuis 1994. Mais derrière le plus grandiose des artistes, il y a toujours un public. Et ce livre offre aujourd'hui la parole à ces voix multiples et précieuses des fans de Muse. Ils ont été plus de 200 à répondre présent pour se confier avec une inspiration et une confiance extraordinaires. Entre exaltation et délicatesse, avec humour, avec ivresse, ils se racontent dans cette relation si particulière qui enlace l'admirateur à l'idole. Ils évoquent le choc de la toute première écoute, de la première rencontre parfois, ils plongent dans leurs émotions les plus pures, ils livrent les désillusions comme les instants de grâce. Et leurs voix se répondent, parfois enflammées ou fragiles, parfois plus brutes ou plus secrètes. Mais toujours sincères et profondes. On n'encense pas des génies du rock si on n'est pas rock soi-même. Et les fans de Muse sont aussi flamboyants et transportés que les trois virtuoses. Voyager aux côtés des fans de Muse est une expérience fabuleuse dont on ressort ébloui et plus grand.

Bruce Springsteen

From darkness to the river

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Par Thierry Jourdain
28 septembre 2017
Prix : 28 €

Extrait :

Enfant réservé issu d'une ville industrielle en déclin du New Jersey et élevé dans les années 50 dans la pauvreté au sein d'une famille tiraillée entre lumière et obscurité, Bruce Springsteen gagna sa réputation à la sueur de son front, se forgeant dès ses jeunes années une solide réputation de songwriter habité et de performer sans équivalent. Son oeuvre est aujourd'hui devenue une part entière du paysage culturel et social américain. Ce livre se propose d'analyser son dytique le plus inspiré, Darkness On The Edge Of Town (1978) et The River (1980), et le plus imprégné des thèmes qui lui sont chers : Darkness marque un tournant dans sa carrière et constitue un album forgé sur la perte de l'innocence et d'un certain renoncement pour mieux avancer, un album austère, sombre, ramassé et peaufiné jusqu'à l'obsession. The River, quant à lui, est un double album fleuve qui dépeint une Amérique à l'aube des années 80 sous fond de romance et de Rock'n'Roll. La dernière partie des années 70 sur lequel s'attarde ce livre montre une écriture de Springsteen hantée par le travail, le couple et le poids de la société qui bouleversent nos vies à l'âge adulte. Tout le spectre de ses préoccupations sociales y est alors représenté : l'Amérique des laissés pour compte, un futur incertain, le chômage, l'amour et la famille. S'il était présenté en en 1974 comme le futur du Rock'n'Roll, nous verrons en quoi et comment il en est devenu le présent et l'est bien resté depuis, de la même façon que son oeuvre reste authentique et actuelle.

Anarchy in the UK

Le Punk au Royaume-Uni

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Par Manuel Rabasse
28 septembre 2017
Prix : 30 €

Extrait :

Alors que le Royaume-Uni s'assoupissait dans les vapeurs des « Swinging sixties » - triomphantes mais bien terminées - et s'enfonçait dans une crise économique, morale et culturelle qui s'exprimait dans une scène musicale en pleine déréliction, un événement en apparence anodin allait tout bouleverser. Le 1er décembre 1976, aux alentours de 18h25, quatre jeunes musiciens accompagnés par quelques-uns de leurs fidèles entraient dans les studios de la station de télévision londonienne Thames TV pour y être interviewés en direct par Bill Grundy, le présentateur de l'émission Today. La séquence se déroula particulièrement mal et quelques noms d'oiseaux furent échangés. Mais cette altercation a priori bien innocente cachait un véritable choc des générations. En traitant le pauvre Bill Grundy de « Vieux dégueulasse » à l'antenne, Steve Jones, le guitariste du groupe The Sex Pistols, balayait les codes de la bienséance britannique et faisait découvrir aux sujets de sa Majesté éberlués le phénomène punk. Depuis, bien de l'eau a coulé sous les ponts, mais le punk, dont on célèbre les quarante ans, n'est pas mort, loin de là. Cet ouvrage revient sur la genèse du mouvement et retrace le parcours de quelques-uns de ses protagonistes les plus importants tout en déroulant le fil des événements jusqu'à nos jours. Sans négliger aucune péripétie, il met en perspective les aspects les plus novateurs du mouvement de ce grand chambardement, en particulier au niveau musical. « Punks Not Dead », for sure !

California über alles

Dead Kennedys, The Early Years

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Par Alex Ogg
26 juin 2017
Prix : 32 €

Extrait :

Dead Kennedys réunissait parfaitement les critiques de la presse et les votes des fans le consacrant plus grand groupe punk de sa génération. Leur premier album, Fresh Fruit For Rotting Vegetables, est régulièrement cité parmi les disques essentiels du genre. Fresh Fruit proposait un mélange parfait d'humour et de polémiques attachés à un châssis musical aussi irritant et inventif que les diatribes cinglantes de Biafra. Ces paroles, cruelles dans leur précision, étaient une révélation. Mais ça n'aurait pas marché si la sonorité sous-jacente n'avait pas été d'une telle confusion, atténuant la flamme corrosive de Biafra. Leur inaltérable influence représente une réussite extraordinaire pour un groupe qui ne passait pratiquement pas en radio et ne sortit de disques que chez des labels indépendants. Non seulement existèrent-ils en dehors du courant dominant, mais ils furent également le premier groupe de cette ampleur à s'en prendre à l'industrie du disque et à l'attaquer. DKs fut à l'origine de tant de choses. Ils firent partie intégrante du réseau américain alternatif mettant aux groupes le pied à l'étrier, leur permettant de se produire ailleurs que dans leur petit jardin. Ils jouèrent un rôle en soutenant le concept de concerts intergénérationnels et en rejetant les avances des promoteurs de rock corporatiste et des toutous de l'industrie du disque. Ils légitimèrent la notion de groupe punk américain travaillant avec succès à l'étranger tout en racontant les horreurs de la politique étrangère de leur pays natal - servant de fait, dans leurs tournées, d'anti-ambassadeurs. Cet ouvrage regroupe des dizaines d'interviews à la source, dont certaines avec les cinq membres fondateurs, des photos et des oeuvres originales, proposant un nouveau regard sur une formation au coeur de la controverse dès ses débuts. Le groupe joua un rôle prépondérant dans la rhétorique punk, la transformant, tant sur le plan polémique que musical, en un univers profondément menaçant - et extrêmement drôle. L'auteur se propose de décrire les débuts de Dead Kennedys au sein de la trajectoire locale et globale du punk ; s'appliquant à retranscrire les points de vue différents des membres de DKs sur leur évolution, il se montre un fan passionné - ne rechignant pas à une certaine subjectivité.

Thank you

Une autre pour la route

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Par Mitch Duterck
26 juin 2017
Prix : 34 €

Extrait :

Mitch Duterck enseigne les bases de la guitare aux débutants de tous âges, il est écrivain, chroniqueur et membre fondateur du groupe Cover Age, une formation belge née il y a plus de vingt ans et qui compte parmi les innovateurs du phénomène cover en Belgique. Depuis de longues années, il fréquente assidument les salles de concerts et les festivals en France, Allemagne, Pays-Bas, Angleterre, Grand Duché de Luxembourg et Belgique, ne déposant jamais plus d'une semaine son bagage et son bâton de pèlerin. En tant que chroniqueur, il a couvert pour Nirvana (fanzine américain de R. Plant) la tournée Fate of Nations de Robert Plant (1993) en Europe de l'Est et de l'Ouest (Prague, Budapest, Cologne, Bruxelles, Paris, Londres et Den Haag) ; il a répondu à une invitation de Jimmy Page pour une session de remixage de Physical Graffiti aux Olympic Studios de Barnes, à proximité de Londres. On lui doit aussi d'avoir couvert le légendaire concert de réunion de Led Zeppelin à la O² Arena de Londres en 2007. Ses textes sont loin de se résumer à des comptes-rendus de shows. Mitch a l'habitude d'aller au-devant des artistes, avant ou après les concerts. Connu de beaucoup, le backstage lui est habituellement ouvert. C'est ainsi qu'il nous convie à rencontrer de plus près des artistes tels que Alice Cooper, Uriah Heep, The Black Crowes, The Cult, Robert Plant, Blackberry Smoke, Gov't Mule, Judas Priest, Rush, Fleetwood Mac, Tom Petty & the Heartbreakers et bien d'autres. Il est également devenu un proche des Rival Sons. Un voyage quelquefois surréaliste, toujours passionnant. Let the music be your master !

Courtney Love

De l’enfer punk à la rédemption glam

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Par Violaine Schütz
23 mai 2017
Prix : 30 €

Extrait :

Ce n'est pas une femme, c'est une force de la nature. C'est-elle même qui le dit. Courtney Love a vécu mille vies. Fille d'un père dealer auprès du groupe Grateful Dead, elle prend du LSD à l'âge de quatre ans, dans les sixties. Ado turbulente, elle fréquente les maisons de correction avant de devenir stripteaseuse. Dans les années 1980, elle fréquente le gratin de la new wave anglaise. Et dans les années 1990, elle devient la femme de Kurt Cobain ainsi que le porte-parole du féminisme avec son groupe, Hole. Hole a, bien avant Beyoncé, véhiculé le message du « girl power », à grands coups de textes féroces et de riffs virils. Depuis, on a connu Courtney Love en fauteuse de trouble, en actrice hollywoodienne et en icône de mode. Controversée et scandaleuse, la rock star à l'image trash dérange autant qu'elle fascine. Démon ? Diva ? Déesse ? Muse ? Veuve noire ? Artiste maudite ? Enfant terrible ? Survivante ? Modèle de résilience hors du commun, cette femme forte et talentueuse a affronté de multiples épreuves pour trouver sa place dans ce monde. Elle est allée jusqu'aux bouts de ses limites (drogues, alcool, agressivité verbale, excès vestimentaires, exhibitionnisme, insultes publiques, démêlé judiciaire), pour en revenir vivante, contrairement à son mari, disparu trop tôt. Cette biographie retrace son parcours électrique, de l'enfer à la rédemption.

Une histoire de la Dance Culture

De Kingston à Tokyo

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Par Alexandre Augrand
23 mai 2017
Prix : 32 €

Extrait :

Hip-Hop, Disco, House, Techno… toutes ces musiques formant la Dance Culture sont nées et ont évolué grâce à l'inspiration d'une poignée de DJs. Une Histoire de la Dance Culture en propose une relecture de la thèse intitulée Le DJ, médiateur de transferts culturels dans la Dance Culture. Comment des cultures locales sont devenues globales qui s'appuie sur les transferts culturels et le rôle de médiateurs que prennent les DJs qui, en s'inspirant d'innovations techniques, d'autres styles musicaux et de contextes sociopolitiques venant de Jamaïque, d'Europe, du Japon ou des États-Unis, créent ces différents mouvements musicaux puis les diffusent dans leurs quartiers, leurs villes, leurs pays et enfin dans le monde entier avec toujours le même but, faire danser. Une Histoire de la Dance Culture retrace un demi-siècle d'évolution musicale en partant des origines de la culture musicale sound-systems jamaïcaine, vues comme les prémices de la Dance Culture à l'arrivée des premiers soundsystems, jusqu'aux missions des travellers et l'émergence de quelques scènes en Europe de l'Est, en Afrique et en Extrême-Orient sans non plus oublier les expériences techniques et musicales menées par des musiciens, des inventeurs et des mouvements artistiques et contestataires du début du XIXe jusqu'au milieu du XXe siècle qui ont offert de nouvelles perspectives et une autre façon de penser la musique.

Under the big black sun

Punk in Los Angeles

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Par John Doe et Tom DeSavia
23 mai 2017
Prix : 34 €

Extrait :

Under The Big Black Sun est un compte rendu intimiste de la scène punk de Los Angeles, racontée par les protagonistes, peaufinée par John Doe de X et accompagnée de photos rares - l'exploration inédite du jeune mouvement punk de Los Angeles et de son évolution vers le hardcore. Les auteurs, John Doe et Tom DeSavia, tissent une narration fascinante de la légendaire scène de la côte ouest entre 1977 et 1982 en donnant voix au chapitre à ses acteurs majeurs. Ce livre égrène vingt-sept récits, de la bouche même des fameux - voire infâmes - protagonistes de la scène, dont Exene Cervenka (X), Henry Rollins (Black Flag), Mike Watt (the Minutemen), Jack Grisham (TSOL), Teresa Covarrubias (the Brat), ainsi que des têtes pensantes et journalistes Pleasant Gehman, Kristine McKenna et Chris Morris. John Doe nous invite au pays ensoleillé des films noirs, à travers les ruelles d'Hollywood et l'expansion urbaine, où il rencontra ses homologues artistiques Exene, DJ Bonebreak et Billy Zoom pour former X, le groupe qui deviendrait synonyme du punk de L.A. Se concentrant sur les années de développement du punk, Under The Big Black Sun relate des histoires d'amour et d'amitié, d'ambitions et de querelles, de rêves grandioses et de colères culturelles, se combinant avec le lustre brillant et dépenaillé d'une étrange culture populaire illustrant parfaitement la face cachée d'Hollywood. Le lecteur plongera dans les clubs qui définirent le mouvement, au fond d'impasses ou sur des parkings vides, dans les immeubles et les squats où trônaient les musiciens, les artistes et les seconds couteaux façonnant ce qui deviendrait le punk de Los Angeles, né de la country, du rock'n'roll, du blues et de la musique latino - incontestablement l'étape suivante dans l'histoire du rock -, de l'art et de la culture, ainsi que de la frustration politique et économique. Un punk à l'image même de Los Angeles. Pour la première fois, les histoires et les photos de cette époque mythique sont présentées par ceux qui se trouvaient en première ligne. Des récits dont la plupart d'entre nous n'ont jamais entendu parler, nés sous le grand soleil noir.

Odyssées éléctro-acoustiques et mythes stéréophoniques

Les saveurs merveilleuses du Rock

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Par Julien Deléglise
23 mai 2017
Prix : 32 €

Extrait :

Si vous souffrez d'aigreur intestinale liée à la musique insipide de votre environnement quotidien, si vos oreilles ne supportent plus la musique industrielle à réchauffer au four micro-onde, cet ouvrage est pour vous. Si vous désirez découvrir de nouvelles saveurs musicales, à table mes ami(e)s. Le Rock est une musique riche de mille ingrédients aussi surprenants que variés : le Jazz, le Blues, le Folk, et même la musique classique. Vous allez désormais pouvoir agrémenter vos oreilles de nouvelles recettes surprenantes : les saveurs boisées d'un bourbon dans un club accompagné des roulements de caisses de Art Blakey, un dessert acidulé aux agrumes dans un jardin anglais au son de Kevin Ayers, une épaisse tranche d'entrecôte saignante en compagnie du Heavy-Metal anglais de Savage… Et puis vous découvrirez les nouvelles audaces culinaires de Grand Magus, Yellow Town, ou Sungrazer. Tous vous redonneront bien-être et vitalité dans un monde de stress et de vacuité. Tous ces artistes ont en commun de créer une musique sans concession, faisant parler l'âme avant de réfléchir à la bienséance. Certains d'entre vous seront sans doute rebutés par l'acidité du Jazz de Miles Davis, l'amertume du Blues du Jeff Beck Group, ou par la rugosité métallique de Diamond Head. Pourtant, c'est à leur contact que votre espace gustatif va s'ouvrir à de nouveaux horizons. Voici en tous cas quelques clés aussi subjectives que sincères pour découvrir le monde merveilleux de cette musique toujours verte et contestataire, j'ai nommé le Rock'N'Roll !

Extremity Retained

Notes sur le Death Metal underground

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Par Jason Netherton
24 avril 2017
Prix : 36 €

Extrait :

Extremity Retained : Notes sur le death metal underground est une contribution sincère et complète à l'histoire du death metal et sa culture. Résultat de trois années de recherches et d'entretiens, Extremity Retained a pour but de saisir l'expérience et l'éthique death metal internationale, depuis ses origines à la fin des années 80, à travers les incarnations et évolutions successives jusqu'au sous-genre puissant qu'il est aujourd'hui. Entièrement composé de récits, d'anecdotes et de souvenirs de première main, ce livre se veut le reflet de diverses expériences, que ce soit des premiers fanzines ou de l'échange de cassettes, des mouvances locales, des performances et des techniques, des processus d'enregistrement, ainsi que de la vie en tournée - donnant une image fidèle de la vitalité et de l'unité qui donne à l'underground son esprit de toujours. Au bout du compte, l'idée est d'explorer le mouvement grâce aux voix de ceux qui ont aidé à le créer, afin de mieux comprendre comment le death metal a fonctionné dès ses premières incarnations, comment il a évolué, et quel pourrait être son avenir. Originaire du Maryland, aux États-Unis, Jason Netherton, l'auteur, est l'un des membres fondateurs du groupe Misery Index, ainsi qu'un ancien membre de Dying Fetus. Il prépare actuellement son doctorat à la Faculty of Information and Media Studies dans l'Ontario. De plus, il est à la tête des archives fanzines metal on line Send Back My Stamps! et il adore les sauces épicées.

Sorry Entertainer

La production artistique de Daniel Johnston de 1979 à 1986

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Par Xavier Lelièvre
24 avril 2017
Prix : 32 €

Extrait :

Daniel Johnston est sans aucun doute l'une des figures pop les plus épatantes du XXe siècle et pourtant, les contours de son oeuvre prodigieuse et singulière restent encore aujourd'hui trop méconnus du public. Reconnu et acclamé par ses pairs et aînés que sont David Bowie, Tom Waits, Kurt Cobain, Eddie Vedder ou Matt Groening, l'artiste a très rapidement su bâtir un univers extrêmement codifié, doté de sa propre mythologie interne, de ses complexités inhérentes ainsi que d'une certaine récurrence dans les thèmes poétiques développés. Depuis, il s'y cloître inlassablement, tout en laissant la fenêtre ouverte à quiconque souhaiterait l'y rejoindre, le temps d'une chanson ou au détour d'un dessin. Musicien et plasticien, sa production artistique vorace et exaltée représente aujourd'hui une synthèse tout à fait remarquable de ce qu'est et de ce que fut l'homme au quotidien : tissant la toile de son cosmos à son image, les innombrables références convoquées n'ont de cesse de se relier entre elles, s'interpeller, s'interroger et se compléter. À travers ce premier ouvrage francophone consacré à cet artiste qui intrigue autant qu'il fascine, l'auteur tente de présenter les vingt-cinq premières années de sa vie captivante, avant de revenir sur les bases de son expression artistique et de soulever quelques préoccupations esthétiques et conceptuelles, afin d'offrir les clés de compréhension nécessaires à l'appréhension de ce répertoire luxuriant et impérieux.

De Nico aux clubs techno

La face cachée d'Ibiza

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Par Helen Donlon
17 mars 2017
Prix : 32 €

Extrait :

Sur une île où ont vécu pirates, hors-la-loi et électrons libres détruisant ou établissant des procédures pour vivre et faire la fête depuis des siècles, rien n'a vraiment changé dans les coulisses, même si les organisateurs de soirées évoluent désormais dans une société insulaire plus ou moins « civilisée ». Les soirées d'Ibiza diffèrent de toutes les autres, comme le confirmera toute personne qui connaît l'île. Des siècles d'influences extérieures, dont la décadence romaine et les percussions rituelles maures, et, plus tard, l'iconographie religieuse hindoue et bouddhiste, ont contribué, une fois associés à l'esprit de la piraterie, à créer les principes de base d'une fête ou d'une after à Ibiza. Ce qui s'est passé sur l'île avant les clubs - soirées trance dans les bois, tambours faisant se coucher le soleil sur la plage ou freaks réunis en extérieur avec des guitares et des machines à écrire écoutant du jazz et du rock'n'roll à fond pendant deux ou trois jours d'affilée - est aussi la raison pour laquelle ces clubs sont devenus nécessaires. Les premiers clubs de l'île ont été créés par les hippies et rassemblaient riches et pauvres, étrangers et gens du cru, gays et hétéros sur des pistes de danse imprégnées d'éléments rapportés par les freaks qui avaient sillonné la « hippie trail » et en étaient revenus avec des idéaux colorés et ésotériques et des drogues psychédéliques. En évoluant, les clubs sont devenus les établissements mondialement célèbres qu'ils sont aujourd'hui, mais en coulisse, le milieu de la nuit d'Ibiza a connu des liens avec la mafia, des politiciens véreux, des coups de poignard dans le dos, des trafics déjoués, des saisies de drogue spécieuses, des assassinats, des suicides et des amendes énormes. L'île a aussi connu des histoires d'originalité chimérique et de vision futuriste, d'agents très talentueux et de génie impulsif, de contextes idéalistes et de nouvelles définitions pour intégrer le temps, l'espace et les corps humains. Mais l'ambiance reste l'aspect le plus important : Ibiza est la capitale mondiale du chill-out, et quand cela s'accorde avec les soirées inimitables de l'île, l'expérience de la fête est parfaitement cohérente.

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