L'éditeur qui véhicule le rock !

Welcome To My Jungle

100 albums rock et autres anectodes déparaillées

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Par Gilles Rolland
22 mars 2021
Prix : 30 €

Extrait :

Le livre que vous tenez entre les mains ne consiste pas en un classement des albums incontournables du rock. Pas tout à fait en tout cas. Il ne s'agit pas non plus du récit de la vie d'une célébrité. Gilles Rolland n'a pas composé de tubes, n'a pas réalisé le grand film de toute une génération et n'a pas collaboré avec des pointures. Ce qu'il fait, c'est écrire. Un journaliste furieusement indépendant né dans la froidure de l'Aveyron, élevé à Carmaux, soit l'ex-ville la plus punk de l'ouest de l'Europe comme aiment à le dire celles et ceux qui ont de tout temps oeuvré à sa reconnaissance à travers la musique binaire à crête (ou pas) et qui aujourd'hui, exerce depuis la campagne toulousaine. Ce livre raconte donc son amour pour le rock and roll au sens large, à travers une sélection somme toute personnelle de 100 albums. Et s'il y est donc question de l'importance capitale de Lemmy Kilmister, de l'âge d'or de la musique psychédélique à San Francisco pendant les années 60, de Grace Slick du Jefferson Airplane, de Janis Joplin, de Dave Grohl, de Rammstein, des Guns N' Roses et de Johnny Cash, l'auteur en profite pour disserter au sujet de son obsession pour les T-shirts rock, raconte ses années passées au sein de plusieurs groupes de reprises comme s'il avait joué avec les Rolling Stones, déclare sa flamme aux Beatles et aux Doors, tente de réhabiliter une gloire oubliée de la country et exprime sa passion concernant les lieux qui ont vu jadis se produire de grandes choses, égrainant ici ou là des souvenirs relatifs (ou non) à ses séjours aux États-Unis. Ici, on parle d'Ozzy Osbourne avec la même déférence que si ce dernier avait trouvé un remède miracle à une maladie obscure pour mieux souligner le pouvoir du rock and roll. Un livre habité par un désir de transmission, que Gilles adresse à ses enfants mais aussi à toutes celles et ceux qui comme lui, ne peuvent pas concevoir l'existence sans musique. Un voyage dans la psyché un peu bordélique d'un quadragénaire qui quelque-part, pense qu'il a toujours 20 ans, ici en pleine introspection, au coeur d'un univers dans lequel il se peut que vous vous reconnaissiez…

Dancehall Explosion

Les DJ et Singjays des années 1980 en Jamaïque

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Par Eric Doumerc et James Danino
24 février 2021
Prix : 30 €

Extrait :

La musique “dancehall” apparut vers la fin des années 1970 à la Jamaïque, et sembla établir une coupure nette avec la tradition du “reggae roots” développée par des artistes comme Bob Marley, Peter Tosh, Burning Spear, et Culture entre autres. De nouveaux artistes occupèrent le devant de la scène et un nouveau son émergea grâce à des musiciens comme les Roots Radics, ou Sly Dunbar et Robbie Shakespeare. Les DJ commencèrent à prendre une place très importante dans la musique jamaïcaine, ainsi que les “sound systems”, véritables sonos ambulantes qui avaient déjà contribué énormément à façonner le son du reggae pendant les années 1970. Des DJ comme Yellowman, Lone Ranger, et Papa Michigan et General Smiley, devinrent extrêmement populaires et supplantèrent même certains chanteurs dans le coeur des amateurs de reggae. Après une première vague “dancehall” entre 1979 et 1985, la révolution numérique fit déferler une seconde vague, avec de nouvelles méthodes de production et des artistes comme Shabba Ranks, Ninjaman, et Tiger. Cet ouvrage propose au lecteur curieux ou à l'amateur de reggae un voyage dans le dancehall des années 1980 à travers une série de portraits de DJ et singjays de cette époque-là, portraits qui tentent d'aller au-delà d'une opposition convenue entre “culture” et “slackness”, qui semble avoir dominé la perception de cette musique en Europe. Populaire, provocatrice, et toujours dynamique, la musique “dancehall” des années 1980 représente une étape importante dans le développement de la musique de la Jamaïque, et nous espérons que cet ouvrage en fera percevoir la complexité et l'humanité.

Metal et genre

Essai sur les rapports de genre au sein de la culture metal

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Par Florence Allain
26 décembre 2020
Prix : 36 €

Extrait :

À la fin des années 1960 apparaît le Heavy Metal, musique aux sonorités profondes et saturées. Aujourd'hui, le terme « Metal » regroupe l'ensemble des musiques extrêmes. Il se caractérise par sa diversité, proposant ainsi à ses adeptes un large choix de styles musicaux et de nombreux sous-genres : heavy metal, glam'metal, trash metal, death metal, black metal, metal symphonique, metal folklorique, metalcore, metal industriel… Malgré sa variété et son développement toujours croissant, le Metal reste mal connu du grand public. De nombreux chercheurs et observateurs le présentent comme une contre-culture. Le plus souvent, il est encore considéré par les médias grand public comme un monde peuplé de marginaux peu fréquentables. Il reste perçu comme une musique au mieux simpliste au pire malsaine, comme une culture dangereuse et décadente, sexiste et misogyne. Pourtant les références culturelles et les imaginaires de cette musique sont riches de sources historiques, mythologiques, religieuses et artistiques. La multiplicité de visions et d'imaginaires genrés développés par ce style musical permet de l'étudier dans le cadre de l'histoire du genre et ouvre un large champ d'investigations. Cet essai, qui présente des styles spécifiques des musiques extrêmes, permet de découvrir leurs sources d'inspiration et leurs univers ; il interroge, à travers l'histoire du genre, le concept de contre-culture attaché à la culture Metal.

Le Post Rock : de Mogwaï à Godspeed You !...

La Rage et la Beauté

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Par Patrick Bénard
28 novembre 2020
Prix : 30 €

Extrait :

Ceci est le premier ouvrage papier en France consacré uniquement à une musique dénommée Post Rock (certains mettent un tiret, il est supprimé ici ou là) et quelques dérivés. Définition, origines et surtout un ensemble (non-exhaustif, hélas, mais presque) des groupes qui pratiquent ce style. Ils savent alterner temps forts, temps faibles, tempos lents et froids, saturations et déchirures de sons, le tout dans une ambiance unique et sidérante. Vous trouverez une anthologie (près de 250 groupes recensés) avec ceux qui ont crée ce style, au début sans le vouloir évidemment, puis ceux qui se sont revendiqués comme tels ou non. De Mogwaï à Godspeed You ! Black Emperor en passant par Sigùr Ros, Mono, Pg. Lost, Do Make Say Think, Caspian, This Will Destroy You, Jesu, Sleepmakeswaves, Zenzile, Ez3kiel, un tour du monde est effectué par continent (avec noms des membres et discographie complète à chaque fois) car ce qui rassemble avant tout ces musiciens est quasiment l'absence de voix, démarche plus simple pour devenir plus universelle. Oubliez tout ce que vous avez écouté jusqu'ici et laissez-vous emporter, embarquer ailleurs. Patrick Bénard a déjà publié, entre autres, On The Rocks, Editions Vaillant, 2014 - Dans La Tête De Robert Smith, Edilivre, 2010 - Chroniques Frénétiques, Une Histoire Intime Du Rock The Book Edition (prix Technikart), 2007 - Les Iles Du Désert, Editions Nykta, 2001.

Deep Purple

Paroles de fans

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Par Christophe Moussé
28 octobre 2020
Prix : 30 €

Extrait :

Qui est Deep Purple ? Rien de moins que l'inventeur du hard rock ! Survivant de cette époque qui a vu également éclore Led Zeppelin et Black Sabbath, Deep Purple est un groupe phénomène depuis plus de 50 ans, qui a enregistré davantage d'albums live que d'albums studio. Le dernier et 21ème du nom, Whoosh!, est sorti en août 2020 avec, en son sein, trois des membres emblématiques du célèbre « Mark II », connu pour avoir gravé parmi les plus belles pages de l'histoire de la musique avec In Rock, Machine Head ou Made in Japan. Toutefois, un seul des membres fondateurs est toujours présent aujourd'hui en la personne du batteur, l'immense Ian Paice. Le grand public et tous les apprentis guitaristes connaissent la formation à travers son hit planétaire, « Smoke on the water », mais ce titre cache de nombreux autres morceaux tout aussi légendaires qui ont fait la réputation du groupe sur l'ensemble de la planète. Dans cet ouvrage, Christophe Moussé décrit les rapports fusionnels, presque magiques, entre le groupe et les fans qu'il draine depuis cinq décennies, construisant une communauté d'admirateurs unique en son genre, élargie à toute la « Purple Family » (Whitesnake, Rainbow, Glenn Hughes, etc.). 41 fans francophones se confient à l'auteur sur la place de choix qu'a le « Pourpre profond » dans leur vie et leur coeur. Pour eux, c'est Deep Purple à la vie à la mort !

Rod Stewart and the Faces

Rod the mod

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Par Eric Tessier
29 septembre 2020
Prix : 30 €

Extrait :

Rod Stewart est une des plus grandes voix du rock britannique, et du rock en général. Depuis cinq décennies, son succès est planétaire. Une telle longévité est exceptionnelle. Il a débuté dans les années soixante. Sa particularité à cette époque : être à la fois un artiste solo et le chanteur d'un groupe. Il livre plusieurs quarante-cinq tours sous son nom, tout en se produisant avec des groupes de blues comme les Hoochie Coochie Men de Long John Baldry, Steampacket et Shotgun Express, gagnant au passage le surnom de Rod the Mod. Il devient également le chanteur « extraordinaire » du Jeff Beck Group, inventeur d'un hard blues précurseur du hard rock. Avec cette formation, il gravera les albums Truth et Beck Ola. Mais c'est les années soixante-dix qui vont le révéler pleinement. Entre 1969 et 1974, il produit cinq disques essentiels sous son nom (An Old Raincoat Won't Ever Let You Down, Gasoline Alley, Every Picture Tells a Story, Never a Dull Moment, Smiler) et cinq, tout aussi essentiels, avec les Faces (First Step, Long Player, A Nod Is As Good As a Wink… to a Blind Horse, Ooh La La et le live Coast to Coast: Overture and Beginners). Ce qui s'appelle ne pas chômer. En 1971, la chanson « Maggie May », extraite d'Every Picture Tells a Story, le propulse au rang de superstar. Les Faces, eux, s'imposent comme le groupe ultime du rock'n'roll bruyant, joyeux et bordélique, préfigurant dans leur attitude le pub rock et le punk. C'est cette histoire que ce volume raconte. Un second tome traite, lui, de la période américaine de Rod Stewart, c'est-à-dire de sa carrière post-Faces, à partir de 1975 et de l'album Atlantic Crossing.

Little Steven

The disciple of soul

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Par Thierry Jourdain
29 septembre 2020
Prix : 24 €

Extrait :

Steven Van Zandt peut se vanter d'avoir intégré deux des plus belles familles artistiques du vingtième siècle, toutes deux liées à l'humanité et à la fidélité qu'il incarne aux yeux de ses pairs. Au début des années mille-neuf-cent-soixante-dix, ses amis musiciens du New Jersey lui trouvent rapidement le surnom de « Miami Steve » puis il se crée celui de « Little Steven » qui deviendra son nom de scène à part entière. S'il est avant tout connu pour être l'ami fidèle de Bruce Springsteen, qui lui fait intégrer officiellement en 1975 son E Street Band, il fait également partie du casting mafieux le plus populaire des séries américaines, The Sopranos. Auteur, compositeur, arrangeur, producteur, il fonde son propre label, Wicked Cool Records, et anime également, depuis 2002, Little Steven's Underground Garage, un podcast célébrant chaque semaine le Rock dans tous ses états, des années mille-neuf-cent-cinquante à aujourd'hui. Homme de coeur, fidèle à ses origines et n'ayant jamais oublié le milieu très modeste d'où il vient, Steve Van Zandt est aussi un activiste qui s'investit politiquement et socialement, notamment dans toutes sortes d'associations caritatives, qu'elles soient en faveur des droits de l'Homme en Afrique du Sud ou en Amérique Latine ou qu'elles soient en lien avec l'éducation et le milieu scolaire. Il lance d'ailleurs en 2007 la fondation Rock and Roll Forever qui a pour but de venir en aide au système éducatif et faire reculer le décrochage scolaire, tout niveau confondu, à travers la musique par toutes sortes d'aides matérielles et de moyens financiers. En novembre 2020, Little Steven fête ses 70 ans et près de 50 ans de carrière. Il était bien temps qu'un ouvrage raconte son histoire.

Les Who chantent leur génération

Peter Townshend, Roger Daltrey, Keith Moon, John Entwistle

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Par Didier Delinotte
2 septembre 2020
Prix : 34 €

Extrait :

Ils avaient été cette bande de mods dynamiteurs de hit-parades avec les hymnes sauvages d'une jeunesse rebelle. Plus tard, ils ont fait accéder le rock à l'âge adulte et ont amené tout le Swinging London à l'opéra après un ultime hommage aux radio pirates. À l'âge où la plupart des groupes se séparent ou se répètent, eux ont encore su donner des albums originaux, intelligents et surtout lucides sur leur milieu, sur la condition de pop star, mais aussi et au-delà, sur la société, sur le monde, sur la vie. Lucides et honnêtes sont les maîtres mots pour les Who, toujours en exercice ; ils ont mis un point d'honneur à respecter leur public et à donner le meilleur d'euxmêmes, sur disque et sur scène. Ils représentent l'honneur du rock et Townshend, leur leader, est l'un des plus grands artistes (tous terrains) de sa génération, sans conteste. Avec Ray Davies, et ce nom n'est pas fortuit tant il a toujours confessé une admiration sans borne pour le prince poète des Kinks, il reste l'incarnation et la mémoire de ces années-lumière où l'imagination et la créativité faisaient reculer les limites du champ des possibles. C'était il y a environ un demi-siècle et l'on pourrait croire, au vu de l'époque, que ces temps appartiennent à un passé révolu, obscur et enfoui. Sauf qu'il en reste des vestiges et des traces. Sauf qu'il reste, toujours en exercice, les Who !

Dico Who

D’Anyway, Anyhow, Anywhere à Who Are You ?

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Par Jérôme Pintoux
30 juillet 2020
Prix : 30 €

Extrait :

Les Who s'étaient taillé des costards dans l'Union Jack. De vrais dandies de King's Road ou de Carnaby Street, avant que ces lieux ne deviennent des coins à touristes. L'âme du groupe, c'était Pete Townshend, le guitariste et le compositeur. Roger Daltrey, c'était le chanteur. A la basse, John Entwistle, une autre pointure. À la batterie, un Électron libre, avec un E majuscule, Keith Moon. En 1965, « My Generation », c'est un hymne de jeunes rebelles, avec des paroles agressives mais jouissives. Les adultes ne pouvaient pas les voir, tout cela parce qu'ils se baladaient dans le quartier. Douze ans plus tard, le brûlot des Sex Pistols, « God Save The Queen » apparaît comme un remake de « My Generation », tout aussi rebelle, tout aussi polémique. Les Who se lanceront dans l'opéra-rock, Tommy, l'histoire d'un ado qu'un traumatisme profond a rendu sourd, muet, aveugle. Ils se risqueront aussi dans des carrières solos. Celle de Roger Daltrey n'a pas fait long feu. Il était fait pour interpréter les morceaux des Who. John Entwistle est un parolier intéressant, mais ses textes hésitent entre le cynisme et l'humour noir. Dans ses albums solos il se lâche complètement. Il prend plaisir à raconter les histoires les plus saugrenues, avec son ironie mordante. Quant à Pete Townshend, si sa carrière solo n'a jamais vraiment décollé, c'est qu'il a donné dans tous les travers de l'époque, la drogue, l'alcool, le mysticisme. Pete Townshend avoue que les Who, c'étaient des gamins arrogants, mais pas eux seulement. Leur public aussi. Cette génération de baby-boomers n'a pas toujours été très glorieuse. C'étaient souvent des gamins mal élevés, imbus d'eux-mêmes. Le fameux Swinging London est vite retombé en poussière. But The Kids Are Alright, c'est bien connu. Pete Townshend n'est pas dupe un seul instant. « Toute cette musique doit disparaître ». Que restera-t-il des fameuses Sixties, du rock, de la musique pop en général, dans un siècle ou deux, ou même dans quelques décennies ? Deux ou trois refrains, et encore ? « Hey Jude » des Beatles, ou le riff de « Satisfaction » des Rolling Stones, comme « Le Beau Danube Bleu » a surnagé, un peu par hasard, au milieu de tant de valses de Vienne que l'on a définitivement oubliées ?

Stones In The Dark

Gangs Of London

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Par Franck Buioni
30 juillet 2020
Prix : 32 €

Extrait :

Londres, 1960. Dans une ville rongée par le népotisme, le chantage et la corruption, surgit la Firme, le gang des frères Kray, une organisation criminelle qui, après avoir mis à feu et à sang les quartiers chauds de l'East End, a fait des jumeaux-tueurs des parrains du Milieu londonien. Mais c'est aussi l'avènement du British Blues Boom et du Swinging London qui feront de la capitale anglaise l'épicentre culturel de la décennie hurlante. C'est dans ce contexte agité qu'émerge la scène de Chelsea, et ses figures emblématiques, Beatles et Rolling Stones en tête qui, s'ils fraient avec la crème de la jetset et le gratin de l'aristocratie, fricotent également avec les gangsters stars de l'East End. Tout ce petit monde ignorant que, tapis dans l'ombre, les services du MI5 veillent au grain. Le 12 février 1967, ladite surveillance débouche sur l'épisode du Redlands Bust, puis l'arrestation de Mick Jagger et Keith Richards. Cette étrange affaire, mêlant drogues dures, soupçons de complot et un zest de satanisme, amorcera le déclin de l'âge d'or des sixties. En 1968, Donald Cammell et Nicholas Roeg voudront illustrer les dérives des late sixties avec Performance, un film devenu légende noire, et une oeuvre décrivant de façon très réaliste ce que personne n'avait jamais montré, la face obscure d›une époque mythifiée et les relations troubles des héros de la contre-culture. STONES IN THE DARK - Gangs of London est un récit haletant où les destins de Reginald et Ronald Kray, David Litvinoff, Donald Cammell, Nicholas Roeg, James Fox, Anita Pallenberg, Brian Jones, David Snyderman, Kenneth Anger, Aleister Crowley, et des Majestés Sataniques de Mick Jagger se croisent au coeur d'une intrigue éclatée où la menace reste présente de la première à la dernière ligne.

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