L'éditeur qui véhicule le rock !

Inferno

L'art des ténèbres

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Par Thierry Boucanier
22 avril 2021
Prix : 30 €

Extrait :

L'enfer est une notion commune à la plupart des grandes croyances théologiques ou mythologiques de l'humanité qui a toujours été fascinée par son aspect terrifiant et qu'elle s'est empressée de peupler de monstres, de démons et autres incarnations du Mal. Le Diable, le Seigneur des Enfers, le Prince des Ténèbres, le maître du royaume des morts, ou Pluton, Hadès, Ahriman, Seth, Yama, Hela, Ninazu, Ah Puch, Iblis, Tezcatlipoca, Satan, Lucifer, Belzébuth, Méphistophélès, quel que soit le nom qui lui fut donné, a été représenté sous bien des apparences différentes depuis les débuts de l'Antiquité jusqu'à nos jours. Une multitude d'artistes ont laissé derrière eux, à travers l'Histoire, une très riche source iconographique par le biais d'innombrables et redoutables effigies et illustrations de cette personnification du mal absolu, à travers la sculpture, l'enluminure, la mosaïque, le vitrail, la gravure, la peinture et le dessin. Le septième art et la musique se sont également emparés de ces thématiques infernales et les ont grandement popularisées. Le portrait du Diable est présent de nos jours sur d'innombrables affiches de films fantastiques et pochettes de disques de nombreux groupes de rock. De tous temps pourtant, l'être humain a été terrorisé par le sentiment d'impuissance et d'inconnu devant la mort, et par la vision sombre et maléfique de ces Enfers grouillant de créatures abominables nées de l'imagination des sculpteurs de l'Antiquité et des peintres médiévaux. L'art pictural des enluminures des parchemins ou des frontons des cathédrales entre autres a alors cherché à enseigner une certaine conduite morale à suivre afin d'échapper à l'horreur de l'enfer tout en nous montrant tous les pires tourments de la damnation. Voici l'histoire du Diable et de l'enfer à travers une iconographie sélective. Mais comme nous prévient l'inscription qui accueille les damnés dans l'Inferno de Dante : « Toi qui entres ici, abandonne toute espérance.»

Chasse au trésor

70 disques des 70'S à côté desquels vous êtes peut-être passés...

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Par Eric Smets
22 avril 2021
Prix : 34 €

Extrait :

Vous êtes fan de Classic Rock, vous possédez tout sur les grands groupes des années 70, sur ses grands mouvements musicaux et vous vous tenez devant votre collection de disques en vous demandant s'il ne vous manque rien, si vous n'êtes pas passé à côté de quelque chose ? Ou vous connaissez quelqu'un qui correspond trait pour trait à cette description. Alors, ce livre est pour vous ou pour lui ! Loin des anthologies traditionnelles qui vous présentent, sous diverses formes, la sélection des meilleurs disques de Rock de l'histoire, loin des listes habituelles des albums essentiels les plus célèbres mais dont, tout compte fait, vous possédez déjà les trois quarts, je vous propose de vous pencher sur certaines zones d'ombre du Rock des 70's et de, peut-être, découvrir de nouveaux disques formidables, liés de près ou de loin à vos groupes favoris. Une façon amusante de poursuivre votre insatiable quête, de compléter votre collection, d'ouvrir de nouvelles portes et de vous donner une excuse pour acheter quelques nouvelles galettes. Que demandez de plus… Vous hésitez, vous voulez quelques exemples ? Vous êtes fan des Beatles et, depuis leur séparation, vous rêviez d'une reformation… Saviez-vous que l'on retrouvait les quatre membres du groupe sur un album solo de Ringo Starr ? Vous êtes fan des Rolling Stones et vous pourchassez la moindre chanson inédite du groupe… Saviez-vous que Keith Richards en avait offert deux à Ron Wood pour son premier album solo sur lequel Mick Jagger lui avait écrit le refrain d'une autre en échange de l'exclusivité de la création de « It's Only Rock'n'Roll » et que Mick Taylor jouait aussi sur cet album plus Stones que Faces ? Vous êtes fan de Led Zeppelin. Saviez-vous que Jimmy Page jouait déjà plusieurs chansons de ce groupe alors qu'il était toujours dans les Yardbirds ? Un album live rare en apporte la preuve ! Vous êtes fan de Bruce Springsteen, pour vous c'est lui le Boss et nul autre… Saviez-vous qu'il joue sur un album de Lou Reed et qu'il a collaboré à plusieurs albums de son ami Southside Johnny ? Vous êtes incollable sur les super-groupes des 70's. Connaissiez-vous Go, qui rassemblait Steve Winwood, Klaus Schulze, Al Di Meola, Pat Thrall, Michael Shrieve autour du japonais Stomu Yamashta ? Vous voudriez découvrir de nouveaux disques, des artistes ou des groupes à côté desquels vous seriez passé et qui n'ont pas acquis le statut d'oeuvre essentielle ? Jetez une oreille sur le dernier album de Mott (The Hoople) ou sur le premier de Mick Ronson (avec une chanson inédite de David Bowie). Connaissez-vous les trésors qui peuplent la discographie d'Elliott Murphy, de Tommy Bolin, de David Crosby, de Steve Harley ou du Sensational Alex Harvey Band ? Que savez-vous de Paris, des groupes français ou de Skryvania (le Lp collector Rock français le plus cher sur le marché) ? Bref, un autre voyage dans l'histoire du Rock vue par le petit bout de la lorgnette… Mon plus grand plaisir serait qu'après la lecture de ce livre, vous n'ayez qu'une envie, c'est de courir chez le disquaire du coin (pour autant qu'il en existe encore un !) pour tenter de vous procurer un de ces disques… Là, je me dirais que ça valait la peine de passer toutes ces heures à écrire ces pages pour tenter de transmettre la joie que l'on peut éprouver en redécouvrant ces albums un peu oubliés.

Welcome To My Jungle

100 albums rock et autres anectodes déparaillées

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Par Gilles Rolland
22 mars 2021
Prix : 30 €

Extrait :

Le livre que vous tenez entre les mains ne consiste pas en un classement des albums incontournables du rock. Pas tout à fait en tout cas. Il ne s'agit pas non plus du récit de la vie d'une célébrité. Gilles Rolland n'a pas composé de tubes, n'a pas réalisé le grand film de toute une génération et n'a pas collaboré avec des pointures. Ce qu'il fait, c'est écrire. Un journaliste furieusement indépendant né dans la froidure de l'Aveyron, élevé à Carmaux, soit l'ex-ville la plus punk de l'ouest de l'Europe comme aiment à le dire celles et ceux qui ont de tout temps oeuvré à sa reconnaissance à travers la musique binaire à crête (ou pas) et qui aujourd'hui, exerce depuis la campagne toulousaine. Ce livre raconte donc son amour pour le rock and roll au sens large, à travers une sélection somme toute personnelle de 100 albums. Et s'il y est donc question de l'importance capitale de Lemmy Kilmister, de l'âge d'or de la musique psychédélique à San Francisco pendant les années 60, de Grace Slick du Jefferson Airplane, de Janis Joplin, de Dave Grohl, de Rammstein, des Guns N' Roses et de Johnny Cash, l'auteur en profite pour disserter au sujet de son obsession pour les T-shirts rock, raconte ses années passées au sein de plusieurs groupes de reprises comme s'il avait joué avec les Rolling Stones, déclare sa flamme aux Beatles et aux Doors, tente de réhabiliter une gloire oubliée de la country et exprime sa passion concernant les lieux qui ont vu jadis se produire de grandes choses, égrainant ici ou là des souvenirs relatifs (ou non) à ses séjours aux États-Unis. Ici, on parle d'Ozzy Osbourne avec la même déférence que si ce dernier avait trouvé un remède miracle à une maladie obscure pour mieux souligner le pouvoir du rock and roll. Un livre habité par un désir de transmission, que Gilles adresse à ses enfants mais aussi à toutes celles et ceux qui comme lui, ne peuvent pas concevoir l'existence sans musique. Un voyage dans la psyché un peu bordélique d'un quadragénaire qui quelque-part, pense qu'il a toujours 20 ans, ici en pleine introspection, au coeur d'un univers dans lequel il se peut que vous vous reconnaissiez…

Dancehall Explosion

Les DJ et Singjays des années 1980 en Jamaïque

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Par Eric Doumerc et James Danino
24 février 2021
Prix : 30 €

Extrait :

La musique “dancehall” apparut vers la fin des années 1970 à la Jamaïque, et sembla établir une coupure nette avec la tradition du “reggae roots” développée par des artistes comme Bob Marley, Peter Tosh, Burning Spear, et Culture entre autres. De nouveaux artistes occupèrent le devant de la scène et un nouveau son émergea grâce à des musiciens comme les Roots Radics, ou Sly Dunbar et Robbie Shakespeare. Les DJ commencèrent à prendre une place très importante dans la musique jamaïcaine, ainsi que les “sound systems”, véritables sonos ambulantes qui avaient déjà contribué énormément à façonner le son du reggae pendant les années 1970. Des DJ comme Yellowman, Lone Ranger, et Papa Michigan et General Smiley, devinrent extrêmement populaires et supplantèrent même certains chanteurs dans le coeur des amateurs de reggae. Après une première vague “dancehall” entre 1979 et 1985, la révolution numérique fit déferler une seconde vague, avec de nouvelles méthodes de production et des artistes comme Shabba Ranks, Ninjaman, et Tiger. Cet ouvrage propose au lecteur curieux ou à l'amateur de reggae un voyage dans le dancehall des années 1980 à travers une série de portraits de DJ et singjays de cette époque-là, portraits qui tentent d'aller au-delà d'une opposition convenue entre “culture” et “slackness”, qui semble avoir dominé la perception de cette musique en Europe. Populaire, provocatrice, et toujours dynamique, la musique “dancehall” des années 1980 représente une étape importante dans le développement de la musique de la Jamaïque, et nous espérons que cet ouvrage en fera percevoir la complexité et l'humanité.

Metal et genre

Essai sur les rapports de genre au sein de la culture metal

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Par Florence Allain
26 décembre 2020
Prix : 36 €

Extrait :

À la fin des années 1960 apparaît le Heavy Metal, musique aux sonorités profondes et saturées. Aujourd'hui, le terme « Metal » regroupe l'ensemble des musiques extrêmes. Il se caractérise par sa diversité, proposant ainsi à ses adeptes un large choix de styles musicaux et de nombreux sous-genres : heavy metal, glam'metal, trash metal, death metal, black metal, metal symphonique, metal folklorique, metalcore, metal industriel… Malgré sa variété et son développement toujours croissant, le Metal reste mal connu du grand public. De nombreux chercheurs et observateurs le présentent comme une contre-culture. Le plus souvent, il est encore considéré par les médias grand public comme un monde peuplé de marginaux peu fréquentables. Il reste perçu comme une musique au mieux simpliste au pire malsaine, comme une culture dangereuse et décadente, sexiste et misogyne. Pourtant les références culturelles et les imaginaires de cette musique sont riches de sources historiques, mythologiques, religieuses et artistiques. La multiplicité de visions et d'imaginaires genrés développés par ce style musical permet de l'étudier dans le cadre de l'histoire du genre et ouvre un large champ d'investigations. Cet essai, qui présente des styles spécifiques des musiques extrêmes, permet de découvrir leurs sources d'inspiration et leurs univers ; il interroge, à travers l'histoire du genre, le concept de contre-culture attaché à la culture Metal.

Le Post Rock : de Mogwaï à Godspeed You !...

La Rage et la Beauté

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Par Patrick Bénard
28 novembre 2020
Prix : 30 €

Extrait :

Ceci est le premier ouvrage papier en France consacré uniquement à une musique dénommée Post Rock (certains mettent un tiret, il est supprimé ici ou là) et quelques dérivés. Définition, origines et surtout un ensemble (non-exhaustif, hélas, mais presque) des groupes qui pratiquent ce style. Ils savent alterner temps forts, temps faibles, tempos lents et froids, saturations et déchirures de sons, le tout dans une ambiance unique et sidérante. Vous trouverez une anthologie (près de 250 groupes recensés) avec ceux qui ont crée ce style, au début sans le vouloir évidemment, puis ceux qui se sont revendiqués comme tels ou non. De Mogwaï à Godspeed You ! Black Emperor en passant par Sigùr Ros, Mono, Pg. Lost, Do Make Say Think, Caspian, This Will Destroy You, Jesu, Sleepmakeswaves, Zenzile, Ez3kiel, un tour du monde est effectué par continent (avec noms des membres et discographie complète à chaque fois) car ce qui rassemble avant tout ces musiciens est quasiment l'absence de voix, démarche plus simple pour devenir plus universelle. Oubliez tout ce que vous avez écouté jusqu'ici et laissez-vous emporter, embarquer ailleurs. Patrick Bénard a déjà publié, entre autres, On The Rocks, Editions Vaillant, 2014 - Dans La Tête De Robert Smith, Edilivre, 2010 - Chroniques Frénétiques, Une Histoire Intime Du Rock The Book Edition (prix Technikart), 2007 - Les Iles Du Désert, Editions Nykta, 2001.

Deep Purple

Paroles de fans

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Par Christophe Moussé
28 octobre 2020
Prix : 30 €

Extrait :

Qui est Deep Purple ? Rien de moins que l'inventeur du hard rock ! Survivant de cette époque qui a vu également éclore Led Zeppelin et Black Sabbath, Deep Purple est un groupe phénomène depuis plus de 50 ans, qui a enregistré davantage d'albums live que d'albums studio. Le dernier et 21ème du nom, Whoosh!, est sorti en août 2020 avec, en son sein, trois des membres emblématiques du célèbre « Mark II », connu pour avoir gravé parmi les plus belles pages de l'histoire de la musique avec In Rock, Machine Head ou Made in Japan. Toutefois, un seul des membres fondateurs est toujours présent aujourd'hui en la personne du batteur, l'immense Ian Paice. Le grand public et tous les apprentis guitaristes connaissent la formation à travers son hit planétaire, « Smoke on the water », mais ce titre cache de nombreux autres morceaux tout aussi légendaires qui ont fait la réputation du groupe sur l'ensemble de la planète. Dans cet ouvrage, Christophe Moussé décrit les rapports fusionnels, presque magiques, entre le groupe et les fans qu'il draine depuis cinq décennies, construisant une communauté d'admirateurs unique en son genre, élargie à toute la « Purple Family » (Whitesnake, Rainbow, Glenn Hughes, etc.). 41 fans francophones se confient à l'auteur sur la place de choix qu'a le « Pourpre profond » dans leur vie et leur coeur. Pour eux, c'est Deep Purple à la vie à la mort !

Rod Stewart and the Faces

Rod the mod

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Par Eric Tessier
29 septembre 2020
Prix : 30 €

Extrait :

Rod Stewart est une des plus grandes voix du rock britannique, et du rock en général. Depuis cinq décennies, son succès est planétaire. Une telle longévité est exceptionnelle. Il a débuté dans les années soixante. Sa particularité à cette époque : être à la fois un artiste solo et le chanteur d'un groupe. Il livre plusieurs quarante-cinq tours sous son nom, tout en se produisant avec des groupes de blues comme les Hoochie Coochie Men de Long John Baldry, Steampacket et Shotgun Express, gagnant au passage le surnom de Rod the Mod. Il devient également le chanteur « extraordinaire » du Jeff Beck Group, inventeur d'un hard blues précurseur du hard rock. Avec cette formation, il gravera les albums Truth et Beck Ola. Mais c'est les années soixante-dix qui vont le révéler pleinement. Entre 1969 et 1974, il produit cinq disques essentiels sous son nom (An Old Raincoat Won't Ever Let You Down, Gasoline Alley, Every Picture Tells a Story, Never a Dull Moment, Smiler) et cinq, tout aussi essentiels, avec les Faces (First Step, Long Player, A Nod Is As Good As a Wink… to a Blind Horse, Ooh La La et le live Coast to Coast: Overture and Beginners). Ce qui s'appelle ne pas chômer. En 1971, la chanson « Maggie May », extraite d'Every Picture Tells a Story, le propulse au rang de superstar. Les Faces, eux, s'imposent comme le groupe ultime du rock'n'roll bruyant, joyeux et bordélique, préfigurant dans leur attitude le pub rock et le punk. C'est cette histoire que ce volume raconte. Un second tome traite, lui, de la période américaine de Rod Stewart, c'est-à-dire de sa carrière post-Faces, à partir de 1975 et de l'album Atlantic Crossing.

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