L'éditeur qui véhicule le rock !

Strange Brew

Pour une étude de l’Histoire du Rock

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Par Julien Bitoun
16 septembre 2015
Prix : 34 €

Extrait :

Étudier l'Histoire du rock ? Quelle drôle d'idée ! Ça n'est pas comme si ce genre musical avait eu une influence quelconque sur le monde dans lequel nous vivons… Que nous apprendrait l'observation des soubresauts de ce vestige des années 50 ? L'étude de la musique c'est le classique, tout le monde sait ça. Et pourtant… Le rock est au centre de notre société. Son explosion a ouvert les consciences, son développement a écrit les règles qui régissent encore le music business, ses martyrs et idoles couvrent nos t-shirts et ont créé des réflexes de pensée tellement présents qu'ils en sont devenus des automatismes. L'étude de l'Histoire du rock est un outil précieux, une grille de lecture de notre société pourtant très peu utilisée, ainsi qu'une voie d'exploration pour les mélomanes désireux de découvrir de nouveaux groupes, de nouveaux albums et de comprendre les évolutions à long terme du style et de ses dérivés. Étudier l'Histoire du rock ? Une excellente idée pour les novices comme pour les amateurs, et une approche qui devrait faire son chemin dans les universités françaises. L'auteur : Julien Bitoun est musicien, diplômé de Sciences Po Paris, mélomane, fan des Beatles et d'AC/DC, écrivain, journaliste, et professeur d'Histoire du Rock à Sciences Po Paris. Ce cours qu'il anime depuis une dizaine d'années lui a inspiré Strange Brew, le premier essai de construction d'une Histoire du rock.

Daft Punk

Humains après tout

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Par Violaine Schütz
18 juin 2014
Prix : 28 €

Extrait :

Violaine Schütz retrace l'aventure d'un des plus grands groupes de danse de tous les temps : Daft Punk. Inventant une musique universelle (le son du nouveau millénaire ?) capable de traverser les frontières, le duo a fait connaître la musique électronique française dans le monde entier et brisé les tabous dont la techno, marginalisée, faisait l'objet. Pour la première fois, un groupe issu des raves réconciliait tout le monde, petits et grands, rockeurs et clubbers, Français et étrangers, tous ensemble sous la boule à facettes. L'histoire a débuté il y a presque vingt ans et aujourd'hui le groupe est devenu un phénomène, malgré un parcours mouvementé qui correspond à celui de l'avènement de la techno en France, à travers ce mouvement culte appelé french touch qui a fait de ce pays l'un des fleurons musicaux du monde entier. C'est aussi le récit humain de la communion de deux jeunes garçons passionnés de pop et de cinéma - Thomas Bangalter et Guy-Manuel de Homem-Christo - devenus messies d'une génération, deux être de chair devenus robots avant de retourner à leurs premières amours, plus viscérales. L'ouverture d'esprit dont ils ont fait preuve annonçait l'abolition des chapelles musicales entre rock et dance dont se revendique aujourd'hui beaucoup de pop stars. À l'heure d'une nouvelle french touch, de Gesaffelstein à Kavinsky en passant par Justice, ne serions-nous pas un peu tous les enfants des Daft ? Violaine Schütz est journaliste et DJ selector. Elle fréquente de très près le milieu du clubbing, de la nuit, et la musique électronique depuis plus de dix ans. Ses articles ont été publiés dans Trax, Tsugi, Wad, Rolling Stones, Be, Elle, Le Bonbon Nuit, Dazed And Confused ou encore Trois Couleurs.

Suicide

Dream baby dream

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Par Kris Needs
6 octobre 2016
Prix : 34 €

Extrait :

Dream Baby Dream raconte l'histoire de Suicide, le dernier grand groupe punk dont le line-up est resté intact depuis les années soixante-dix et la première vague punk. Alan Vega et Martin Rev ont brisé les tabous avec leur nom de groupe et leur attitude. En pulsant leur indéfinissable mélasse de blues électronique new-yorkais, ils n'ont jamais cessé de défier le public, partout dans le monde. Ils créèrent un son nouveau et chaotique en réaction à l'ambiance à la fois bariolée, incontrôlable et dangereuse des rues new-yorkaises des années soixante-dix. Puis ils réagirent à l'horreur du 9/11 avec l'album American Supreme. Entre ces deux époques, ils furent copieusement ignorés et même carrément oubliés. Comme bon nombre de visionnaires, Alan et Marty étaient largement en avance sur leur époque, inventant des genres qui n'existaient pas encore. L'auteur Kris Needs propose dans son ouvrage une étude détaillée des parcours de jeunesse d'Alan Vega, activiste artistique, et de Martin Rev, musicien de jazz en quête perpétuelle de nouveauté, qui se rencontrèrent en 1970. L'auteur décrit aussi les premiers shows du duo, qu'ils qualifiaient eux-mêmes de « Punk music » sur leurs affiches. Il raconte comment leur notoriété s'est accrue alors qu'ils faisaient fuir le public du Mercer Arts Center, puis du Max's Kansas City, où ils purent entamer leur « carrière » discographique. L'auteur évoque aussi la tournée européenne de 1978 en première partie des Clash et d'Elvis Costello, marquée par des incidents violents. Non seulement ils provoquèrent des réactions d'hostilité extrêmes, mais ils déclenchèrent la révolution électronique du début des années quatre-vingt. Suicide est aujourd'hui considéré comme un groupe pionnier de l'underground new-yorkais. L'ouvrage propose des interviews d'Alan et de Martin, ainsi que de Peter Crowley, Marty Thau, Craig Leon, Liz Lamere et Howard Thompson. Avec une préface de Lydia Lunch.

Le Heavy Metal au cinéma

De Spinal Tap à Rob Zombie

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Par Gilles Rolland
17 février 2018
Prix : 32 €

Extrait :

Cinéma et musique ont toujours fait bon ménage. Le rock en particulier a depuis ses premiers rugissements trouvé un écho sur grand écran. Avec le King Presley puis avec les Beatles et beaucoup d'autres grands noms qui, un jour, ont souhaité faire le lien et offrir à leurs univers des évocations filmiques plus ou moins inspirées. Le metal lui, ne fait pas exception et s'est abondement nourri de références cinématographiques. Les headbangers sont souvent de grands cinéphiles et bien sûr, les stars du genre, parmi lesquelles Black Sabbath, Alice Cooper, Rob Zombie ou encore Metallica ont, à un moment ou à un autre, participé à ce dialogue si galvanisant, donnant naissance à des morceaux remplis de références, à des films cultes et à des longs-métrages propulsés par la puissance évocatrice de la musique sur-amplifiée. Que l'on parle de films d'horreur, de drames, de comédies ou de documentaires, le cinéma heavy metal est d'une richesse exemplaire. Voici plusieurs décennies que cette love story incendiaire perdure. Une histoire de laquelle surgissent des classiques et des curiosités. Des longs-métrages mais aussi des bandes originales. Car parfois, si le film n'a rien de metal, la musique, elle,, l'est carrément. C'est de cela dont il est question ici. De This Is Spinal Tap à Wayne's World, en passant par Rob Zombie, Decline Of The Western Civilization Part II : The Metal Years, Lemmy The Movie, Métal Hurlant, Le Fleuve de la mort ou encore Anvil !, ce livre raconte la grande odyssée d'un genre extrême et insouciant qui fédère depuis une quarantaine d'années dans le bruit et la fureur, mais aussi dans le rire, le sang et les larmes.

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