L'éditeur qui véhicule le rock !

Booker T & The MG's

Green onions and Memphis soul

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Par Eric Tessier
22 novembre 2017
Prix : 32 €

Extrait :

Principal créateur de la soul de Memphis, BOOKER T & THE MG's a laissé une empreinte fondatrice sur la soul, le rhythm and blues en général et le rock and roll dans tous ses états. Outre une brillante carrière personnelle, en tant que groupe ou artistes solos, BOOKER T AND THE MG'S a été l'orchestre maison du célèbre label de Memphis STAX Records. Ils ont ainsi joué, entre autres, avec OTIS REDDING, SAM & DAVE, CARLA & RUFUS THOMAS, EDDIE FLOYD, WILSON PICKETT, ALBERT KING, JOHNNIE TAYLOR, THE STAPLE SINGERS, etc. On les entend sur des classiques comme « Soul Man », « Walking The Dog », « Try A Little Tenderness », « I've Been Loving You Too Long (To Stop Now) »… Loin d'être un groupe de requins de studio, les musiciens de BOOKER T AND THE MG'S étaient aussi des compositeurs. Pour eux-mêmes (leur répertoire est parmi les plus beaux de la soul) comme pour les autres - on doit notamment à Booker T. Jones des classiques comme « Born Under A Bad Sign », « I've Never Found A Girl (Like You To Love Me) », à Steve Cropper « (Sittin' On) The Dock of the Bay », « Hold On I'm Coming », « In The Midnight Hour », « Ninety-Nine and a Half (Won't Do) » et autres friandises. On compte au nombre de leurs fans JOHN LENNON (qui rêvait de composer un morceau pour eux), NEIL YOUNG, CARLOS SANTANA, CREEDENCE CLEARWATER REVIVAL, LOU REED, ROD STEWART, STEPHEN STILLS, STEPPENWOLF, PAUL WELLER le Modfather et la cohorte des mods déchaînés sur leurs scooters, JOHNNY THUNDERS le prince du punk, THE CLASH, les rockeuses garage japonaises de THE 5,6,7,8's, RANCID, les avantgardistes THE RESIDENTS (qui écrivirent « The Booker Tease ») et les psychédéliques pop toulonnais STEREOSCOPE JERK EXPLOSION (« Mooger Tea »). Bien que leur histoire soit intimement liée à celle de STAX, c'est bien de BOOKER T AND THE MG'S dont parle ce livre. C'est la première biographie qui leur est consacrée, à notre connaissance, en France comme dans le monde.

Guns N'Roses

Paroles de fans

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Par Gilles Rolland
22 novembre 2017
Prix : 36 €

Extrait :

Guns N' Roses n'a rien d'un groupe de hard rock conventionnel. Axl Rose, Slash, Duff McKagan, Steven Adler et Izzy Stradlin n'ont pas pris une place vacante. Ils se sont imposés et ont exacerbé une formule qu'ils ont su s'approprier, dans le bruit et la fureur, afin de faire entendre leur voix et leurs riffs en accompagnant la lente agonie des tumultueuses années 80. Entraînant dans son sillage une horde grandissante de fans qui aujourd'hui, 30 ans plus tard, ne cesse de grandir, le groupe le plus dangereux du monde a brillé par son refus des conventions. Clivant, scandaleux et impétueux, il a redéfini les contours du heavy metal sans faire de prisonniers. Aujourd'hui à nouveau (presque) réunis, après des années de conflits ayant fait les choux gras de la presse, les Gunners peuvent compter sur une communauté d'aficionados aussi fidèles que portés par un enthousiasme flamboyant. Des fans qui se livrent avec passion dans cet ouvrage. Entre anecdotes et analyses, ce Paroles de fans dédié aux Guns N' Roses part à la rencontre de celles et ceux qui ont fait du combo californien le centre névralgique de leur passion pour la musique. Il donne la parole, sans détour, aux fans de tous les âges, qu'ils aient connu le groupe à ses débuts ou plus récemment, avec Chinese Democracy, avant la reformation. Il laisse la place à toutes les sensibilités, mais aussi aux critiques, et entend illustrer ce rapport si spécial qui nous unit tous aux Guns N' Roses. You know were you are ?

En parlant des Scorpions

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Par Herman Rarebell
22 novembre 2017
Prix : 34 €

Extrait :

Comme un outsider dépassant ses adversaires, les Scorpions ont, contre toute attente, fini par atteindre les sommets. À la fin des années 70, ils ont quitté le relatif anonymat de leur ville de Hanovre en Allemagne pour trôner sur le royaume du rock'n'roll. Herman Rarebell, surnommé Herman « Ze German », y a pris toute sa part. Plus qu'un simple batteur, l'écriture inspirée et imaginative de Herman était l'ingrédient-clé et le chaînon manquant qui a permis au groupe de percer alors que les prétendus « connaisseurs » ne croyaient pas un seul instant en ses chances de réussite. Ce qui nous est livré ici est bien plus que la chronique élogieuse d'un homme ordinaire. Ce livre est tout sauf cela. Au-delà de l'auteur, c'est d'abord l'histoire de ce qui est certainement le plus grand groupe de son époque. Une histoire émaillée d'anecdotes amusantes, de traits d'esprit souvent emplis de sagesse. Considéré comme un chef-d'oeuvre par les amateurs d'un humour ironique ou satyrique, il s'adresse tout autant aux amoureux de narrations bien troussées, et renouvelle le genre autobiographique. Par ses incessantes histoires et anecdotes, Herman décrit le parcours du groupe jusqu'au sommet de l'Olympe du rock ! Son co-auteur, Michael Krikorian, use de sa plume pour les colorer, apportant plus de teintes et de nuances qu'aucune boîte de crayons Crayola n'en a jamais contenu. Ensemble, ils dressent la table et servent un banquet fait de souvenirs et de sarcasmes, un véritable festin de roi ! Aucun sujet n'est éludé par ce maître de la précision qui use et abuse de jeux de mots et de sousentendus, pour écrire l'histoire non seulement d'un groupe extraordinaire mais aussi celle de toute une génération. Sans les calories, mais avec le même sentiment de culpabilité, la franchise et l'honnêteté qui nourrissent ces pages procurent un plaisir délicieusement coupable qui, loin de vous couper l'appétit, vous en fera réclamer davantage !

Nothin' To Lose

Les origines de Kiss (1972-1975)

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Par Ken Sharp
20 octobre 2017
Prix : 38 €

Extrait :

Nothing To Lose: The Making Of KISS (1972 -1975) relate pour la première fois les années capitales dans la formation de KISS, groupe de rock légendaire, avec, pour point d'orgue, le succès international de « Rock And Roll All Nite », un titre qui, quarante ans plus tard, demeure un hymne rock indestructible. Rassemblant plus de deux cents interviews, cet ouvrage propose le compte rendu captivant, intime et pris sur le vif de leurs débuts, relatant leurs batailles et leurs premières victoires jusqu'au statut de superstars. Compilant les interviews de Paul Stanley, Gene Simmons, Ace Frehley et Peter Criss, ainsi que de producteurs, d'ingénieurs du son, de managers, d'employés de maisons de disques, de roadies, de propriétaires de clubs, d'agents de réservation, de promoteurs de concerts, de designers, de photographes, de publicitaires, de journalistes et de musiciens avec lesquels KISS partagea l'affiche comme Alice Cooper ou Blue Öyster Cult, les New York Dolls ou les Ramones, c'est le récit de l'ascension d'un groupe irrésistible et inoubliable qui écrivit son nom en lettres de feu au panthéon du rock. « Un livre électrisant sur le groupe qui a changé l'histoire du rock'n'roll en restant droit dans ses bottes pour imprimer sa marque d'éclairs heavy metal. J'approuve ! » - Joe Perry, Aerosmith. « Ce texte est la véritable histoire du rêve américain rock'n'roll » - Ted Nugent. « Vous qui croyiez tout savoir sur KISS… vous aviez tort. Retraçant les débuts de KISS, Nothing To Lose propose le son de cloche de ses membres, de leurs amis, d'acteurs de l'industrie du disque - dont votre humble serviteur ! Si vous voulez découvrir comment Gene Simmons a appris à cracher du feu et quel a été le premier maquillage de Paul Stanley, ce livre est pour vous. » - Alice Cooper

Les cheveux de la chèvre chauve

Musicus Delirium : une conspiration

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Par Jérôme Alberola
20 octobre 2017
Prix : 34 €

Extrait :

La musique adoucirait les moeurs. Mais, avec l'avènement de la techno transhumaniste et de la révolution industrielle qui a aussi bouleversé rock et metal, elle peut aussi les transgresser, en se révélant une arme de séduction lascive, voire de destruction massive. Reste à savoir - et à accepter - le prix à payer pour tous ceux qui veulent en goûter tous les délices et les vices. Est-il celui de la jeunesse sacrifiée par les décibels, les riffs et les blast-beats, ou celui de la damnation qui a marqué tant d'artistes depuis Robert Johnson qui, dans sa jeunesse, aurait vendu son âme au diable en échange de l'invention du blues, jusqu'aux fans hardcore des sulfureux death ou black metal, accusés de pervertir les âmes innocentes et les oreilles chastes ? Ce roman, délirant et effrayant thriller, vous apportera les réponses au travers d'une conspiration pour le contrôle psychique des humains, impliquant un psychiatre animalier français dont les méthodes thérapeutiques consistent, entre autres, à offrir des tours de micro-ondes à un dindon mythomane, un agent russe triple à la quadruple identité abusant de ses performances sexuelles, un patron à la fois suisse, véreux et parano de multinationale pharmaceutique, un comptable radin comme son nom l'indique, de superbes créatures fatales mais rédemptrices, un chauffeur de taxi buvant du détergent bio made in Africa, des coups de marteau en dehors des clous, des testicules enfoncés dans un grille-pain, des faux vaccins, des vrais implants cérébraux, des morts en cascades par chutes de piano, météore, foudre, etc., etc. Vous serez surtout hanté par une chèvre mystérieuse qui, sans être le bouc du diable ni le double d'une biatch, n'emmène pas moins ses disciples dans l'écoute des musiques extrêmes ou envoûtantes, sur un chemin chaotique et initiatique menant vers la sagesse et la découverte du sens de la vie. Et ceci, bien mieux qu'au cinéma, comme vous pourrez le découvrir !

Ministry

The lost gospels according to Al Jourgensen

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Par Al Jourgensen
28 septembre 2017
Prix : 36 €

Extrait :

« Peu de musiciens se sont permis une vie aussi sex, drugs & rock'n'roll avec une telle envie de défier la mort - et sur une aussi longue période - que Al Jourgensen, le leader de toujours de Ministry. Partout dans le monde, on peut désormais lire sa légende… Une lecture en montagnes russes. En plus de passer derrière le rideau de la création de classiques de metal indus comme The Mind Is A Terrible Thing To Taste et Psalm 69, Jourgensen se permet des potins sur des noms connus dont il a croisé la trajectoire au cours de sa carrière. » - Rollingstone.com Ministry : The Lost Gospels, les mémoires explosifs où tous les coups sont permis, de Al Jourgensen parrain légendaire de l'indus et fondateur de Ministry, est à la fois répugnant et captivant, révélant un personnage sans compromis et dont la vie n'a pas toujours été des plus simples. Jourgensen, l'un des artistes les plus inventifs et les plus prolifiques à s'être jamais emparé d'une guitare, d'une mandoline, d'un harmonica ou d'un banjo, ne voulait qu'être musicien ; il est devenu rock star. Et la gloire et la fortune ont bien failli le tuer. Toxicomane depuis l'âge de quinze ans, Jourgensen s'est vautré durant vingt-deux ans dans l'héroïne, la cocaïne, la méthadone et l'alcool avant de devenir clean, de se racheter une conduite et de trouver de nouvelles raisons de vivre. Avec humour, chaleur et décadence, parsemé de drames, The Lost Gospels se veut le récit épique d'un renégat iconoclaste. « Concernant le sexe, la drogue et le rock'n'roll, on n'en a jamais assez - c'est du moins ce qu'on lit. Mener une telle existence, et si longtemps, tient de l'exploit, de ceux qui valent bien des mémoires, Ministry… » - USA Today Al Jourgensen est un producteur, compositeur et musicien nominé six fois aux Grammy Awards. L'artiste ne compte plus les disques de platine et sa discographie couvre trente années. Après son retour dans le droit chemin en 2002, il produit encore cinq albums avec Ministry et lance son propre label, 13th Planet. Il vit à El Paso au Texas. Jon Wiederhorn est coauteur de l'ouvrage Louder Than Hell: The Definitive Oral History Of Metal, journaliste notoire à Revolver et chroniqueur à Guitar World, Yahoo.com, eMusic.com et Noisey.com. Il vit à Brooklyn, à New York, avec sa famille.

Muse

Paroles de fans

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Par Aurélie Massé
28 septembre 2017
Prix : 34 €

Extrait :

Bellamy, Howard, Wolstenholme. Trois noms qui ont déjà marqué l'Histoire de la Musique. Car Muse est sans aucun doute l'un des rares groupes à avoir bouleversé le rock ces deux dernières décennies. Muse, ce sont trois génies qui élèvent leurs instruments au-delà même des limites humaines. Muse, c'est surtout 21,5 millions d'albums vendus dans le monde et plus de 1 400 concerts donnés depuis 1994. Mais derrière le plus grandiose des artistes, il y a toujours un public. Et ce livre offre aujourd'hui la parole à ces voix multiples et précieuses des fans de Muse. Ils ont été plus de 200 à répondre présent pour se confier avec une inspiration et une confiance extraordinaires. Entre exaltation et délicatesse, avec humour, avec ivresse, ils se racontent dans cette relation si particulière qui enlace l'admirateur à l'idole. Ils évoquent le choc de la toute première écoute, de la première rencontre parfois, ils plongent dans leurs émotions les plus pures, ils livrent les désillusions comme les instants de grâce. Et leurs voix se répondent, parfois enflammées ou fragiles, parfois plus brutes ou plus secrètes. Mais toujours sincères et profondes. On n'encense pas des génies du rock si on n'est pas rock soi-même. Et les fans de Muse sont aussi flamboyants et transportés que les trois virtuoses. Voyager aux côtés des fans de Muse est une expérience fabuleuse dont on ressort ébloui et plus grand.

Bruce Springsteen

From darkness to the river

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Par Thierry Jourdain
28 septembre 2017
Prix : 28 €

Extrait :

Enfant réservé issu d'une ville industrielle en déclin du New Jersey et élevé dans les années 50 dans la pauvreté au sein d'une famille tiraillée entre lumière et obscurité, Bruce Springsteen gagna sa réputation à la sueur de son front, se forgeant dès ses jeunes années une solide réputation de songwriter habité et de performer sans équivalent. Son oeuvre est aujourd'hui devenue une part entière du paysage culturel et social américain. Ce livre se propose d'analyser son dytique le plus inspiré, Darkness On The Edge Of Town (1978) et The River (1980), et le plus imprégné des thèmes qui lui sont chers : Darkness marque un tournant dans sa carrière et constitue un album forgé sur la perte de l'innocence et d'un certain renoncement pour mieux avancer, un album austère, sombre, ramassé et peaufiné jusqu'à l'obsession. The River, quant à lui, est un double album fleuve qui dépeint une Amérique à l'aube des années 80 sous fond de romance et de Rock'n'Roll. La dernière partie des années 70 sur lequel s'attarde ce livre montre une écriture de Springsteen hantée par le travail, le couple et le poids de la société qui bouleversent nos vies à l'âge adulte. Tout le spectre de ses préoccupations sociales y est alors représenté : l'Amérique des laissés pour compte, un futur incertain, le chômage, l'amour et la famille. S'il était présenté en en 1974 comme le futur du Rock'n'Roll, nous verrons en quoi et comment il en est devenu le présent et l'est bien resté depuis, de la même façon que son oeuvre reste authentique et actuelle.

Anarchy in the UK

Le Punk au Royaume-Uni

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Par Manuel Rabasse
28 septembre 2017
Prix : 30 €

Extrait :

Alors que le Royaume-Uni s'assoupissait dans les vapeurs des « Swinging sixties » - triomphantes mais bien terminées - et s'enfonçait dans une crise économique, morale et culturelle qui s'exprimait dans une scène musicale en pleine déréliction, un événement en apparence anodin allait tout bouleverser. Le 1er décembre 1976, aux alentours de 18h25, quatre jeunes musiciens accompagnés par quelques-uns de leurs fidèles entraient dans les studios de la station de télévision londonienne Thames TV pour y être interviewés en direct par Bill Grundy, le présentateur de l'émission Today. La séquence se déroula particulièrement mal et quelques noms d'oiseaux furent échangés. Mais cette altercation a priori bien innocente cachait un véritable choc des générations. En traitant le pauvre Bill Grundy de « Vieux dégueulasse » à l'antenne, Steve Jones, le guitariste du groupe The Sex Pistols, balayait les codes de la bienséance britannique et faisait découvrir aux sujets de sa Majesté éberlués le phénomène punk. Depuis, bien de l'eau a coulé sous les ponts, mais le punk, dont on célèbre les quarante ans, n'est pas mort, loin de là. Cet ouvrage revient sur la genèse du mouvement et retrace le parcours de quelques-uns de ses protagonistes les plus importants tout en déroulant le fil des événements jusqu'à nos jours. Sans négliger aucune péripétie, il met en perspective les aspects les plus novateurs du mouvement de ce grand chambardement, en particulier au niveau musical. « Punks Not Dead », for sure !

California über alles

Dead Kennedys, The Early Years

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Par Alex Ogg
26 juin 2017
Prix : 32 €

Extrait :

Dead Kennedys réunissait parfaitement les critiques de la presse et les votes des fans le consacrant plus grand groupe punk de sa génération. Leur premier album, Fresh Fruit For Rotting Vegetables, est régulièrement cité parmi les disques essentiels du genre. Fresh Fruit proposait un mélange parfait d'humour et de polémiques attachés à un châssis musical aussi irritant et inventif que les diatribes cinglantes de Biafra. Ces paroles, cruelles dans leur précision, étaient une révélation. Mais ça n'aurait pas marché si la sonorité sous-jacente n'avait pas été d'une telle confusion, atténuant la flamme corrosive de Biafra. Leur inaltérable influence représente une réussite extraordinaire pour un groupe qui ne passait pratiquement pas en radio et ne sortit de disques que chez des labels indépendants. Non seulement existèrent-ils en dehors du courant dominant, mais ils furent également le premier groupe de cette ampleur à s'en prendre à l'industrie du disque et à l'attaquer. DKs fut à l'origine de tant de choses. Ils firent partie intégrante du réseau américain alternatif mettant aux groupes le pied à l'étrier, leur permettant de se produire ailleurs que dans leur petit jardin. Ils jouèrent un rôle en soutenant le concept de concerts intergénérationnels et en rejetant les avances des promoteurs de rock corporatiste et des toutous de l'industrie du disque. Ils légitimèrent la notion de groupe punk américain travaillant avec succès à l'étranger tout en racontant les horreurs de la politique étrangère de leur pays natal - servant de fait, dans leurs tournées, d'anti-ambassadeurs. Cet ouvrage regroupe des dizaines d'interviews à la source, dont certaines avec les cinq membres fondateurs, des photos et des oeuvres originales, proposant un nouveau regard sur une formation au coeur de la controverse dès ses débuts. Le groupe joua un rôle prépondérant dans la rhétorique punk, la transformant, tant sur le plan polémique que musical, en un univers profondément menaçant - et extrêmement drôle. L'auteur se propose de décrire les débuts de Dead Kennedys au sein de la trajectoire locale et globale du punk ; s'appliquant à retranscrire les points de vue différents des membres de DKs sur leur évolution, il se montre un fan passionné - ne rechignant pas à une certaine subjectivité.

Thank you

Une autre pour la route

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Par Mitch Duterck
26 juin 2017
Prix : 34 €

Extrait :

Mitch Duterck enseigne les bases de la guitare aux débutants de tous âges, il est écrivain, chroniqueur et membre fondateur du groupe Cover Age, une formation belge née il y a plus de vingt ans et qui compte parmi les innovateurs du phénomène cover en Belgique. Depuis de longues années, il fréquente assidument les salles de concerts et les festivals en France, Allemagne, Pays-Bas, Angleterre, Grand Duché de Luxembourg et Belgique, ne déposant jamais plus d'une semaine son bagage et son bâton de pèlerin. En tant que chroniqueur, il a couvert pour Nirvana (fanzine américain de R. Plant) la tournée Fate of Nations de Robert Plant (1993) en Europe de l'Est et de l'Ouest (Prague, Budapest, Cologne, Bruxelles, Paris, Londres et Den Haag) ; il a répondu à une invitation de Jimmy Page pour une session de remixage de Physical Graffiti aux Olympic Studios de Barnes, à proximité de Londres. On lui doit aussi d'avoir couvert le légendaire concert de réunion de Led Zeppelin à la O² Arena de Londres en 2007. Ses textes sont loin de se résumer à des comptes-rendus de shows. Mitch a l'habitude d'aller au-devant des artistes, avant ou après les concerts. Connu de beaucoup, le backstage lui est habituellement ouvert. C'est ainsi qu'il nous convie à rencontrer de plus près des artistes tels que Alice Cooper, Uriah Heep, The Black Crowes, The Cult, Robert Plant, Blackberry Smoke, Gov't Mule, Judas Priest, Rush, Fleetwood Mac, Tom Petty & the Heartbreakers et bien d'autres. Il est également devenu un proche des Rival Sons. Un voyage quelquefois surréaliste, toujours passionnant. Let the music be your master !

Courtney Love

De l’enfer punk à la rédemption glam

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Par Violaine Schütz
23 mai 2017
Prix : 30 €

Extrait :

Ce n'est pas une femme, c'est une force de la nature. C'est-elle même qui le dit. Courtney Love a vécu mille vies. Fille d'un père dealer auprès du groupe Grateful Dead, elle prend du LSD à l'âge de quatre ans, dans les sixties. Ado turbulente, elle fréquente les maisons de correction avant de devenir stripteaseuse. Dans les années 1980, elle fréquente le gratin de la new wave anglaise. Et dans les années 1990, elle devient la femme de Kurt Cobain ainsi que le porte-parole du féminisme avec son groupe, Hole. Hole a, bien avant Beyoncé, véhiculé le message du « girl power », à grands coups de textes féroces et de riffs virils. Depuis, on a connu Courtney Love en fauteuse de trouble, en actrice hollywoodienne et en icône de mode. Controversée et scandaleuse, la rock star à l'image trash dérange autant qu'elle fascine. Démon ? Diva ? Déesse ? Muse ? Veuve noire ? Artiste maudite ? Enfant terrible ? Survivante ? Modèle de résilience hors du commun, cette femme forte et talentueuse a affronté de multiples épreuves pour trouver sa place dans ce monde. Elle est allée jusqu'aux bouts de ses limites (drogues, alcool, agressivité verbale, excès vestimentaires, exhibitionnisme, insultes publiques, démêlé judiciaire), pour en revenir vivante, contrairement à son mari, disparu trop tôt. Cette biographie retrace son parcours électrique, de l'enfer à la rédemption.

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